Le secteur privé, et c'est tout à fait normal, ne s'intéresse qu'aux activités rentables et profitables. Si l'activité n'est pas rentable elle ne le fera pas (ou alors pour des raisons de prestige ou stratégiques = perdre un peu ici pour gagner plus là). Personnellement, "public" ou "privé" n'est pas la question pour moi... L'important c'est "efficacité" / "productivité". Evidemment, on peut penser "à priori" que le public sera "moins efficace" car aura plus tendance au laxisme ... Il est vrai que le risque est plus grand (notamment en France)... Mais dans beaucoup d'autres pays, public ne rime pas obligatoirement avec "pas efficace". C'est un état d'esprit (les services publics en Suisse cherchent tout le temps à faire mieux pour moins cher par exemple...). Donc ce débat n'est pas simple car tout n'est pas noir ou blanc... Le privé (on le voit sur la distribution de l'eau...) peut faire moins bien et plus cher... Tout dépend des objectifs poursuivis. Par ailleurs, l'oligarchisme actuel multiplie le copinage "public - privé" avec des vaches à lait pour les "copains"... alors tout n'est pas si simple... C'est du cas par cas... !!!

Quand on a un besoin à satisfaire (peu importe lequel), on ne s'intéresse pas de savoir si celui qui peut y répondre est "public" ou "privé"... Ce qui nous intéresse de savoir est : - mon besoin sera-t-il parfaitement satisfait ? - Dans quel délai ? - A quel prix ? Les questions du fournisseur sont les suivantes : - puis-je satisfaire à 100% le client ou l'usager ? - Dans quel délai ? - Est-ce rentable pour moi ? Un fournisseur public devrait avoir pour objectif de : - satisfaire à 100% son client le plus vite possible. - Pour un prix minimum. - Avec une rentabilité minimum (qui couvre les coûts engagés).

{{Tous les journalistes "blablatent" tout le temps sur "l'incompétence économique" de Marine Le Pen... Regardez son intervention devant les patrons de la CGPME... Elle est non seulement plus compétente que TOUS les autres candidats mais aussi plus compétente que de nombreux soi-disant "économistes... Regardez par vous même... ! http://www.dailymotion.com/video/xpvq1u_marine-le-pen-presente-son-projet-economique-et-social-devant-la-cgpme_news?start=0#from=embediframe}}

{{Tous les journalistes "blablatent" tout le temps sur "l'incompétence économique" de Marine Le Pen... Regardez son intervention devant les patrons de la CGPME... Elle est non seulement plus compétente que TOUS les autres candidats mais aussi plus compétente que de nombreux soi-disant "économistes... Regardez par vous même... ! http://www.dailymotion.com/video/xpvq1u_marine-le-pen-presente-son-projet-economique-et-social-devant-la-cgpme_news?start=0#from=embediframe}}

Superbe Film créé et financé par Foster Gamble (héritier de l'entreprise Procter & Gamble) qui a décidé de suivre une autre voie que celle de la domination... http://interobjectif.net/thrive-que-faut-il-sur-terre-pour-prosperer-en-francais/ http://www.thrivemovement.com/home

Une folie... +50% en 3 mois... Abattage d'arbres dans peu de temps... !

L'armageddon commencera vraiment en Mai / Juin 2012... Mais on peut vendre dès maintenant !

Rebond du CAC sur la Moyenne 200 en UT 4H avec cours en dehors des Bollingers. = Fort Rebond CT

{{Un proche de Nicolas Sarkozy a fait rentrer Mohamed Merah en Israël}} Retenez bien son nom : Erard Corbin de Mangoux. Cet homme dirige depuis 2008 le bastion des services secrets français -la DGSE. A en croire le scoop révélé lundi soir par le quotidien italien Il Floglio, c’est sous sa responsabilité que l’assassin présumé de Toulouse, Mohamed Merah, a pu accéder en septembre 2010 au territoire israélien. En contrepartie, le jeune homme devait rapporter des informations aux responsables du contre-espionnage français. Mohamed Merah était-il un informateur de la DGSE ? Dans cette affaire encore obscure, une chose est certaine : l’actuel dirigeant des services secrets a été nommé par Nicolas Sarkozy en raison de sa proximité avec le président de la République. Dérogeant à la règle coutumière d’une nomination militaire à la tête de la DGSE, le chef de l’Etat a préféré placer un de ses hommes, préfet de carrière, pour chapeauter le renseignement extérieur. Après les indices relatifs à une collaboration avec la DCRI, ce nouvel élément suggère une étroite et troublante connivence entre la sécurité d’Etat et la mouvance djihadiste. Une information méconnue mérite ici d’être rappelée : fin 2001, le terroriste Richard Reid avait tenté, en vain, de faire exploser des explosifs, dissimulés dans ses chaussures, lors d’un vol Paris-Miami. Un témoignage ultérieur, rapporté par l’émission « Pièces à conviction » de France 3, était particulièrement intriguant : selon un responsable du contrôle de l’aéroport parisien, Richard Reid avait pu aisément monter à bord car il disposait d’un tampon israélien dans son passeport. Un élément interprété finalement comme un gage de sécurité pour l’embarquement d’un passager considéré comme nerveux. Pour l’homme en charge du contrôle, l’accès-généralement difficile- au territoire israélien signifiait que ce touriste ne présentait pas de danger particulier puisqu’il avait été autorisé à passer par l’une des douanes les plus vigilantes au monde.

{{Un proche de Nicolas Sarkozy a fait rentrer Mohamed Merah en Israël}} Retenez bien son nom : Erard Corbin de Mangoux. Cet homme dirige depuis 2008 le bastion des services secrets français -la DGSE. A en croire le scoop révélé lundi soir par le quotidien italien Il Floglio, c’est sous sa responsabilité que l’assassin présumé de Toulouse, Mohamed Merah, a pu accéder en septembre 2010 au territoire israélien. En contrepartie, le jeune homme devait rapporter des informations aux responsables du contre-espionnage français. Mohamed Merah était-il un informateur de la DGSE ? Dans cette affaire encore obscure, une chose est certaine : l’actuel dirigeant des services secrets a été nommé par Nicolas Sarkozy en raison de sa proximité avec le président de la République. Dérogeant à la règle coutumière d’une nomination militaire à la tête de la DGSE, le chef de l’Etat a préféré placer un de ses hommes, préfet de carrière, pour chapeauter le renseignement extérieur. Après les indices relatifs à une collaboration avec la DCRI, ce nouvel élément suggère une étroite et troublante connivence entre la sécurité d’Etat et la mouvance djihadiste. Une information méconnue mérite ici d’être rappelée : fin 2001, le terroriste Richard Reid avait tenté, en vain, de faire exploser des explosifs, dissimulés dans ses chaussures, lors d’un vol Paris-Miami. Un témoignage ultérieur, rapporté par l’émission « Pièces à conviction » de France 3, était particulièrement intriguant : selon un responsable du contrôle de l’aéroport parisien, Richard Reid avait pu aisément monter à bord car il disposait d’un tampon israélien dans son passeport. Un élément interprété finalement comme un gage de sécurité pour l’embarquement d’un passager considéré comme nerveux. Pour l’homme en charge du contrôle, l’accès-généralement difficile- au territoire israélien signifiait que ce touriste ne présentait pas de danger particulier puisqu’il avait été autorisé à passer par l’une des douanes les plus vigilantes au monde.