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Henri Dumas

Henri Dumas

Libéral convaincu,  je tire des expériences de ma vie une philosophie et des propositions.
Le tout sans prétention de vérité.
Mon blog : www.temoignagefiscal.com

 
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2020, l'année de la grande dépression... nerveuse.

Audience de l'article : 1945 lectures
Nombre de commentaires : 1 réaction
Nous sommes 7,7 milliards sur la terre. Le Coronavirus a décimé à ce jour 220.000 d’entre nous. Soit 3/100.000ème de la population mondiale. On ne peut parler d’une catastrophe humanitaire mondiale. Sauf pour celui qui est touché, dont le monde alors se limite soudain à lui-même, évidemment.

N’oublions pas que la réflexion sur la vie, la terre, le monde fini, le consumérisme, etc… dont les grands prêtres sont les écologistes, se lit toujours en terme planétaire. C’est donc la lecture officielle. Il faut aussi noter que l’on nous abreuve des conséquences mondiales de la pandémie. La vision mondiale s’impose donc à nous de toute part.

Conclusion : comment une chose aussi marginale dans ses chiffres peut-elle accaparer l’attention du monde entier et mettre à terre son économie ? Il y a là une énigme qui me trouble depuis un moment.

Et si la grenouille occidentale se prenait pour le bœuf mondial ?

Si c’était tout simplement la surchauffe de l’économie qui nous terrasse, plus que le petit virus. Si l’esclavage au crédit, la course à la norme, l’obligation de paraitre, avaient court-circuité les neurones des plus faibles d’entre nous.

Par exemple : épuisés, à la ramasse, ces plus faibles n’auraient pas eu le courage, la dignité, de dire : “stop, je ne joue plus”. Ils auraient monté toute une histoire de climat, de catastrophes planétaires, pour arrêter la locomotive emballée de la consommation, dont ils se sentaient totalement dépendants.

Les écolos, victimes de leur dépendance consumériste, seraient les plus affectés par la pandémie qui touche le cœur de leur biotope, qui détruit à coup sûr leur environnement plus rapidement et surtout plus réellement que ce qu’ils envisageaient.

En réalité, les écolos étaient probablement les premiers symptômes d’une dépendance qui aboutit à une profonde dépression nerveuse.

Une dépression qui va peut-être totalement détruire cette société devenue trop dure, qui impose une pression colossale pour aboutir au bonheur, dont mon chien se fout comme de sa première guigne, et moi aussi.

Le bonheur, comme le malheur, je le prends quand il passe, je ne cours pas après, je fais avec.

Dommage pour les écologistes. Leur bonheur, si désiré, donnait l’impression de n’exister que comparativement, négativement, dans l’espoir de frustrer ceux qu’ils croyaient heureux par ouï-dire ou par apparence. Leurs manœuvres visaient essentiellement à contrarier les autres, à leur rendre la course à la consommation plus difficile.

Ils n’avaient pas perçu que tous sont fatigués, que seule la caste des fonctionnaires leur prêtait attention.

Très adroitement les fonctionnaires ont utilisé la diversion du maillon faible des écologistes, leur tempérament dépressif, suicidaire :

– pour augmenter la pression sur leurs esclaves, sur ceux qui produisent et qui y trouvent encore du plaisir, parce que tout simplement ils produisent pour la seule joie de créer.

– pour que leurs esclaves ne s’aperçoivent pas trop vite du pillage dont ils sont l’objet de leur part.

Cependant, les écologistes et les fonctionnaires partagent une chose : c’est le manque de courage, la peur, la terreur que leur procurent ceux qui sont à l’aise dans la création, la découverte et le travail qui va avec.

Il n’est pas impossible, mais c’est trop tôt pour l’affirmer, que l’opération coronavirus ne soit qu’une simple dépression nerveuse d’une société fragilisée par son confort, son luxe et la peur de le perdre.

Si c’est ça, trop tard. Tout est perdu.

Nous allons entrer dans le tiers monde rapidement, car la planète abrite des peuples en conquête. Je pense que le vélo est le premier signe de l’entrée dans le tiers-monde, pour ceux qui n’avaient pas prévu de s’y mettre, qui vont y être obligés.

L’économie ne peut pas redémarrer s’il en est ainsi.

D’abord parce que l’on ne sort pas d’une dépression comme ça. La dépression est une perte de confiance, et la confiance perdue ne revient pas sans un grand travail personnel, dont objectivement on ne sent pas les prémices.

Ensuite parce que ceux qui créent ont découvert le pot aux roses. Les fonctionnaires sont atomisés à l’occasion de la pandémie, leur principal écran, leur rideau de fumée : “la santé et la solidarité”, ont explosé face à la dure réalité de la vraie vie.

Les esclaves vont se rebiffer, c’est sûr aujourd’hui.

La guerre est finie, deux morts : les écolos et le statut des fonctionnaires.

Bien à vous. H. Dumas

* Quand je dis “fonctionnaire”, il faut entendre “statut des fonctionnaires”. L’homme n’est pas en cause directe, c’est le statut que je vise.
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1 Commentaire

  • Lien vers le commentaire Engin-ear jeudi, 30 avril 2020 13:01 Posté par Engin-ear

    Je pressens l'année 2020 comme une année d'une chute biblique du pouvoir d'achat.

    Les contraintes du confinement et du post-confinement vont FORTEMENT augmenter coûts de production (x2? x3?) pendant la durée de ces mesures.

    Pour ma part, 2020 est une année de la perte de toutes les certitudes.