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Et la France... ??

Avec 60 Milliards de barils de pétrole dans le bassin parisien, l'AIE n'en parle pas bizzarement... ?
http://www.jp-petit.org/nouv_f/ENARCHIE/enarchie.htm

Olivier Saby vient de faire l’ENA. Et il a tiré de sa scolarité un livre titré « Promotion Ubu Roi »,  sous titré « Mes 27 mois sur les bancs de l’ENA ». D’entrée de jeu, on redoute un de ces témoignages amers dus à des diplômés qui se sont trompés d’orientation. Et le style du livre, un récit sous forme de journal, fait craindre un exercice narcissique comme il en pullule sur les blogs.  Aucune de ces interprétations n’est la bonne.

Pour la première fois, un diplômé de l’ENA entreprend de nous conter par le menu ce que furent sa vie et ses cours pendant 27 mois. Il ne s’agit donc pas, non plus, du Nième livre proposant les réformes à apporter à l’auguste institution. C’est un livre qui nous donne à voir en direct la médiocrité du programme de l’école, en nous immergeant dans la scolarité. «J’aime cette émission télévisée qui s’appelle « Strip Tease », explique Olivier Saby : des tranches de vie présentée sans aucun commentaire. On laisse le spectateur juge. Mon bouquin, c’est un peu ça »

L’obsession du classement

Beaucoup de choses dans ce livre laissent une impression glaçante. On comprend assez vite que c’est une école qui sélectionne 80 brillants jeunes gens via des épreuves impitoyables pour leur infliger par ensuite un cursus pitoyable. Saby parle de « vide abyssal de l’enseignement. » Un vide dont ils n’osent pas se plaindre parce que cela pourrait nuire à leur classement de sortie. L’obsession de ce sacro-saint classement, qui peut déterminer une carrière à vie, et que plusieurs gouvernements ont sans succès envisagé de supprimer, marque au fer rouge le cursus et l’ADN des diplômés. C’est un permanent sujet de conversation entre élèves, et anciens élèves. Quand Saby débarque en stage à l’ambassade de France à Beyrouth, l’une des premières questions que lui pose le N° 2 de l’ambassade, ancien de l’ENA, porte sur le classement qu’il vise. Et l’énarque de décliner aussitôt son propre classement, comme on donnerait sa carte de visite. Rebelote avec l’ambassadeur. Saby s’attend à être questionné sur les raison de son choix du Liban. Au lieu de cela, la première question de l’excellence est : « est-ce que le classement est toujours en vigueur à l’ENA ? ». Monsieur l’ambassadeur est énarque  (il donne bien sur aussitôt son classement) mais aussi fils et frère d’énarques. Il n’a pas la moindre idée du travail qu’il va confier à ce stagiaire, qui attendra 2 semaines avant de recevoir quelques instructions.

 Le rejet de l’initiative et de l’innovation
Et la toute puissance fiscale française "tient" grâce à la docilité sans borne des français qui "croient" que l'état leur veut du "bien".
Il suffit que 30 millions de gens refusent d'un coup de payer leurs impôts et/ou délocalisent en masse leurs comptes en banque...

=> Les "autorités" ne pourront RIEN faire, ils seraient totalement dépassés... 

=> Combien "d'inspecteurs des impôts" en France (130 000 fonctonnaires des impôts) ???

Si la panique s'installe chez les contribuables ils sont foutus en quelques jours à peine, d'où l'obligation absolue de "ne pas affoler la population"...

Pays Population en millions Nombre fonctionnaires douanes Nombre fonctionnaires impôts Impôts collectés [1]
France 63 19.000 [2] 130.000 [3] #792 Mds €
Grande-Bretagne 62 #20.000 [4] # 62.000 [http://en.wikipedia.org/wiki/Her_Ma…"  606 Mds £
USA 308 43.000 [6] 86.000 [7] 2.200 Mds $ [8]


http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/09/05/01016-20080905ARTFIG00015-un-inspecteur-des-impots-derobe-euros-.php

Écroué, ce fonctionnaire lyonnais, amateur de jeux, est suspecté d'avoir détourné cette somme en dix ans, grâce à des contribuables fictifs.

Modeste agent du service du recouvrement des impôts à la cité administrative de Lyon, rien ne laissait penser que Jean-Luc S. menait grand train et une double vie. Ni sa famille ni ses collègues. Jusqu'à ce que son banquier s'étonne de nombreux mouvements de fonds sur ses comptes au point d'alerter la direction des services fiscaux du Rhône qui a mené l'enquête. Écroué le 8 août dernier après une plainte des services fiscaux et mis en examen pour détournement de fonds publics par personne dépositaire de l'autorité publique, faux en écriture publique et usage, le fonctionnaire de 53 ans a détaillé aux enquêteurs de la division financière de la police judiciaire la mécanique du montage qui lui aurait permis de détourner près de 440 000 euros pendant une dizaine d'années, argent dépensé et flambé au casino et dans des soirées. Découverte dans la discrétion du cœur de l'été, l'affaire a été révélée par le quotidien Le Progrès.






http://www.jp-petit.org/nouv_f/ENARCHIE/enarchie.htm


Olivier Saby vient de faire l’ENA. Et il a tiré de sa scolarité un livre titré « Promotion Ubu Roi »,  sous titré « Mes 27 mois sur les bancs de l’ENA ». D’entrée de jeu, on redoute un de ces témoignages amers dus à des diplômés qui se sont trompés d’orientation. Et le style du livre, un récit sous forme de journal, fait craindre un exercice narcissique comme il en pullule sur les blogs.  Aucune de ces interprétations n’est la bonne.

Pour la première fois, un diplômé de l’ENA entreprend de nous conter par le menu ce que furent sa vie et ses cours pendant 27 mois. Il ne s’agit donc pas, non plus, du Nième livre proposant les réformes à apporter à l’auguste institution. C’est un livre qui nous donne à voir en direct la médiocrité du programme de l’école, en nous immergeant dans la scolarité. «J’aime cette émission télévisée qui s’appelle « Strip Tease », explique Olivier Saby : des tranches de vie présentée sans aucun commentaire. On laisse le spectateur juge. Mon bouquin, c’est un peu ça »

L’obsession du classement

Beaucoup de choses dans ce livre laissent une impression glaçante. On comprend assez vite que c’est une école qui sélectionne 80 brillants jeunes gens via des épreuves impitoyables pour leur infliger par ensuite un cursus pitoyable. Saby parle de « vide abyssal de l’enseignement. » Un vide dont ils n’osent pas se plaindre parce que cela pourrait nuire à leur classement de sortie. L’obsession de ce sacro-saint classement, qui peut déterminer une carrière à vie, et que plusieurs gouvernements ont sans succès envisagé de supprimer, marque au fer rouge le cursus et l’ADN des diplômés. C’est un permanent sujet de conversation entre élèves, et anciens élèves. Quand Saby débarque en stage à l’ambassade de France à Beyrouth, l’une des premières questions que lui pose le N° 2 de l’ambassade, ancien de l’ENA, porte sur le classement qu’il vise. Et l’énarque de décliner aussitôt son propre classement, comme on donnerait sa carte de visite. Rebelote avec l’ambassadeur. Saby s’attend à être questionné sur les raison de son choix du Liban. Au lieu de cela, la première question de l’excellence est : « est-ce que le classement est toujours en vigueur à l’ENA ? ». Monsieur l’ambassadeur est énarque  (il donne bien sur aussitôt son classement) mais aussi fils et frère d’énarques. Il n’a pas la moindre idée du travail qu’il va confier à ce stagiaire, qui attendra 2 semaines avant de recevoir quelques instructions.

 Le rejet de l’initiative et de l’innovation
Non, non... avecnos Enarquesnous aurons toujours la "stabilité" quoiqu'il arrive...

http://www.jp-petit.org/nouv_f/ENARCHIE/enarchie.htm

Olivier Saby vient de faire l’ENA. Et il a tiré de sa scolarité un livre titré « Promotion Ubu Roi »,  sous titré « Mes 27 mois sur les bancs de l’ENA ». D’entrée de jeu, on redoute un de ces témoignages amers dus à des diplômés qui se sont trompés d’orientation. Et le style du livre, un récit sous forme de journal, fait craindre un exercice narcissique comme il en pullule sur les blogs.  Aucune de ces interprétations n’est la bonne.

Pour la première fois, un diplômé de l’ENA entreprend de nous conter par le menu ce que furent sa vie et ses cours pendant 27 mois. Il ne s’agit donc pas, non plus, du Nième livre proposant les réformes à apporter à l’auguste institution. C’est un livre qui nous donne à voir en direct la médiocrité du programme de l’école, en nous immergeant dans la scolarité. «J’aime cette émission télévisée qui s’appelle « Strip Tease », explique Olivier Saby : des tranches de vie présentée sans aucun commentaire. On laisse le spectateur juge. Mon bouquin, c’est un peu ça »

L’obsession du classement

Beaucoup de choses dans ce livre laissent une impression glaçante. On comprend assez vite que c’est une école qui sélectionne 80 brillants jeunes gens via des épreuves impitoyables pour leur infliger par ensuite un cursus pitoyable. Saby parle de « vide abyssal de l’enseignement. » Un vide dont ils n’osent pas se plaindre parce que cela pourrait nuire à leur classement de sortie. L’obsession de ce sacro-saint classement, qui peut déterminer une carrière à vie, et que plusieurs gouvernements ont sans succès envisagé de supprimer, marque au fer rouge le cursus et l’ADN des diplômés. C’est un permanent sujet de conversation entre élèves, et anciens élèves. Quand Saby débarque en stage à l’ambassade de France à Beyrouth, l’une des premières questions que lui pose le N° 2 de l’ambassade, ancien de l’ENA, porte sur le classement qu’il vise. Et l’énarque de décliner aussitôt son propre classement, comme on donnerait sa carte de visite. Rebelote avec l’ambassadeur. Saby s’attend à être questionné sur les raison de son choix du Liban. Au lieu de cela, la première question de l’excellence est : « est-ce que le classement est toujours en vigueur à l’ENA ? ». Monsieur l’ambassadeur est énarque  (il donne bien sur aussitôt son classement) mais aussi fils et frère d’énarques. Il n’a pas la moindre idée du travail qu’il va confier à ce stagiaire, qui attendra 2 semaines avant de recevoir quelques instructions.

 Le rejet de l’initiative et de l’innovation 
Des Milliers de Milliards de USD pour sauver les banques et pas 100 Millions pde USD pour éviter l'apocalypse qui résulterait d'une explosion solaire semblable qui s'est déjà produite en 1859 et qui plongerait les US, et tous les pays dans le noir total (comme en Corée du Nord...).

Des gouvernements qui "voient loin"... !!!

http://www.zerohedge.com/contributed/2012-11-23/preventing-armageddon-would-cost-only-100-million-%E2%80%A6-congress-too-thick-approv

The government has thrown tens of trillions of dollars at the big banks, even though bailing out the big banks hurts – rather than helps – the American economy. See thisthis and this. (And it doesn’t take a PhD economist to guess that using bailout funds to buygold toilet seats and prostitutes is probably not the best way to stimulate the economy as a whole)..

Nobel prize winning economist Joe Stiglitz says that the $3-5 trillion spent on the Iraq war alone has been very bad for the American economy. See thisthis and this. Security experts – including both hawks and doves – agree that waging war against Iraq and in other Middle Eastern countries weakens national security and increases terrorism. See thisthisthisthisthisthisthis and this.

The government has thrown money at all sorts of other useless projects.

And yet Congress refuses to spend a mere $100 million to prevent Armageddon.

Specifically, well-known physicist Michio Kaku and other members of the American Physical Society asked Congress to appropriate $100 million to harden the country’s electrical grid against solar flares.

Congress refused.

Kaku explains that a solar flare like the one that hit the U.S. in 1859 would – in the current era of nuclear power and electric refrigeration – cause Armageddon.

Not only could such a flare bring on multiple Fukushima type accidents, but it could well cause food riots nationwide.
Ca "donne envie d'acheter des actions"... n'est-ce pas ??

=> Cela démontre simplement qu'aujourd'hui tout n'est que Fraude, Corruption et Incompétence...

Dites vous bien que ce n'est pas un cas "isolé", ce serait plutôt la Règle dans toutes les grandes sociétés...
Pour l'instant, "tout va bien", ils ont réussi à tout mettre sous le tapis... Mais dans peu de temps tout va finir par se révéler au grand jour... Et alors là... -80 à -90% sur les indices boursiers...

La FED, la BCE, les banques, les grandes entreprises, les états... Tout le monde Fraude, Corrompt et est incompétent... Il y a un accord général pour que ça dure le plus longtemps possible... Jusqu'à l'explosion générale Finale...!!!
Fraude, Corruption et Incompétence sont Partout... !

Alors que l'on nous a seriné, pendant des années, que les doutes sur les vaccins n'avaient pas lieu d'être, « que ces produits étaient parmi les plus sûrs », que le corps médical est en majorité en faveur des vaccins et que les populations sceptiques sont très minoritaires et soit-disant d'origine sectaire, une enquête-choc de l'INPES (tellement choc d'ailleurs qu'elle en est restée NON PUBLIEE) démontre tout le contraire. 

L'INPES (Institut National de Prévention et d'Education à la Santé) a en fait réalisé, en 2005, avec l'Institut de Sondage BVA, une enquête auprès d'un échantillon représentatif de 400 médecins français, généralistes et pédiatres afin d'évaluer leur perception de l'utilité et de la sécurité des vaccins. Les résultats sont si éloquents qu'il fallait, bien entendu, tenter au maximum, d'en dissimuler les résultats au public.... 

58 % des médecins se posent des questions sur l'utilité des vaccins donnés aux enfants. 

31 % des médecins se posent des questions sur la sécurité des vaccins. 

La référence à cette enquête est donnée, très confidentiellement, aux praticiens dans le document de l'INPES intitulé « Vaccinations, Guide pratique pour le praticien » et est notée comme suit : 

« BVA. Étude sur les vaccins pédiatriques auprès des médecins généralistes et des pédiatres. 2005 : p. 31 - non publiée. » 

EST-CE VRAIMENT NORMAL, démocratiquement parlant, que de tels résultats soient demeurés aussi longtemps aussi confidentiels ? 

Car, pendant ce temps, la plupart de ces médecins QUI DOUTENT soit de l'utilité soit de la sécurité ont fort probablement continué à vacciner aveuglément de peur de faire part publiquement de leurs doutes, en commençant par leur patientèle !!! 

Si ces médecins ont ainsi accepté de donner franchement leur avis dans ce type d'enquête, c'est bien entendu parce qu'ils ont forcément dû recevoir une garantie absolue d'anonymat. 

L'omerta est si forte que, dans les faits, hélas, c'est toujours le sinistre « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » qui prévaut. Au détriment du patient bien sûr et de son droit à un consentement libre et éclairé. 

Il n'en reste pas moins qu'avec de tels chiffres, plus aucune obligation vaccinale d'aucune sorte ne saurait encore trouver la moindre légitimité scientifique ou démocratique. 

Source : INPES
 
S'ils sont naturalisés ça va être compliqué de leur dire de partir... !
Tant pis, il faut assumer, il faut surtout éviter de créer des pompes aspirantes.

"Désolé, on est pauvres, à sec, voila 1000 Euros pour rentrer chez vous, c'est tout ce qu'on peut faire pour vous. Désolés vous pourrez peut-être revenir quand on sera redevenus riches"...