Toujours pas de débat sur la pertinence de l'éolien, alors le Danemark sera notre laboratoire !

Vivement les données sur le coût des backups et de l'achat/vente d'électricité en période de surproduction et d'absence de production (acheté à la Norvège et vendu à qui en veut bien quand ça tourne fort) en termes économiques et CO2...

L'efficacité énergétique en revanche je pense qu'ils ont bon.

Autant de mots pour broder là dessus, il y a vraiment de tout sur ObjectifEco.

Sérieusement, le problème des lattrines dans les pays sous-développés en est un parmi d'autres (qui cause son lot de morts) parmis toutes les emmerdes qui nous dépassent dans nos pays à cholestérol, comme : ne pas avoir à manger, ne pas avoir accès à l'eau, ne pas avoir de toit, ne pas avoir de planning familial, ne pas avoir accès aux soins, ne pas pouvoir payer un consultation chez le docteur, ne pas pouvoir aller à l'école, ne pas pouvoir payer l'avocat et le juge lorsqu'on est exproprié à tord, etc.

Tout un tas de sujets plus sérieux que la crise de la dette ou celle de l'euro en fait.

Avec la crise des dettes et de l'euro du coup on ne parle plus des rapports du COR sur les retraites, au passage ce dernier a mis à jour son hypothèse C dans un document datant cet été :
http://www.cor-retraites.fr/IMG/pdf/doc-1814.pdf

Deux ans après, on concède une hypothèse basse de croissance du PIB de 1.3%, soit un timide 0.2% de moins...

Comme il nous reste 23 lettres nous comprenons que le COR en a sous le pied mais n'a pas publié ses hypothèses entre C et Z, par exemple M avec 0% de PIB et 12% de chômage, et R avec -1.5% de PIB et 18% de chômage.

TOUT VA BIEN SE PASSER.

Merci pour votre exposé. On peut penser que le régime AE a été vu par Bercy comme une nouvelle nasse à refermer sur deux catégories : les personnes craignant de lancer une activité (paperasse et frais d'entrée sans CA) et ceux ayant déjà un petit revenu au noir tentés de le mettre en règles.

Maintenant, la nasse se referme. Voilà, l'enfer fiscal est pavé de bonne intentions ;)

Avec chaque jour un peu plus de français-clients, bénéficiaires ou obligés, la majorité grossissante se trouve coincée à espérer que ça ne lui tombe pas dessus. Les esprits entreprenants n'ont qu'à faire le dos rond ou partir, ils ne sont d'aucun intérêt politique.

Il faudrait que nous soyons bien nombreux pour que l'idéologie change si radicalement. Qu'en pense les moins de 30 ans, car je ne vois qu'eux ?

Intéressant, il serait même assez probable que ça se passe exactement comme ça. Reste les accidents et imprévus qui sont à répétitions ces dernières années, alors que la situation actuelle d'endettement et son pendant - la monétisation - étaient finalement prédictibles de longue date.

L'ennui avec les solution 1, 2 et 3, c'est que les politiques tentent encore d'autres solutions avant de se résoudre à la solution 4. ;)