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Guillaume

Guillaume

Qui suis-je ?

Année de naissance : 1974



Passions :

  • Autrefois pratiquées : pêche à la mouche, arts martiaux
  • Pratiquées occasionnellement : golf, VTT, lecture, séjour sur l'île de la Réunion
  • Pratiquées régulièrement : trading, voyages en Italie

Ma présence sur Objectif Eco :

Faire profiter de mon expérience de changement de vie professionnelle tout en restant en France (nous sommes nombreux à vouloir le faire, mais le grand saut dans l'inconnu fera peur à beaucoup de monde). Je vous en dirai plus sur l'inconnu.

Comment je suis passé du statut de salarié à chef d'entreprise et de chef d'entreprise à salarié avec compléments de revenus significatifs. (c'est possible et je le prouve).

Vous parler de chef d'entreprise qui ont réussi (oui il y en a), ce que ça rapporte et ce que ça coûte (pas que sur le plan financier. Pourquoi ils réussissent, et pourquoi certains ont échoué (et comment ils ont rebondi). 

Mon regard sur la vie des Français  et l'immobilier(tous les jours je rencontre des acheteurs ou des vendeurs qui ont un projet immobilier ou une galère à gérer) .
En effet l'immo occupe une place centrale dans la vie des Français, et ce dernier conditionnera en grande partie leur bonheur futur ou une galère qu'il vont payer une grande partie de leur vie. De l'extérieur ça a l'air évident, mais pourtant...

DU TRADING comment sur plus de 200 tansactions annuelles, plus de 70 % de mes trades sont gagnants et que mon portefeuille progresse de minimum 20% par an depuis 3 ans.

Vous faire partager certaines expériences de vie, et comment je fais progresser mon patrimoine tous les mois. Objectif multiplier par 5 mon patrimoine en France en 12 ans. (eh oui ça prend plus de temps au pays de la fiscalité, mais tout quitter n'est pas toujours possible avec une famille).

DES IDEES DE TRADING 
avec une philosophie originale mais très pragmatique. Vous verrez que plus de 70 % des ces idées de trades seront gagnantes maximum dans les 6 mois. Et une bonne majorité en 1 mois







 

 

LE SALARIE QUI VOULAIT DEVENIR ... (PART 7) - Entre le salon de la franchise et le premier RDV avec le développeur

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Notre salarié est rentré chez lui, des étoiles plein les yeux, il est conforté dans son choix, il a bien conscience qu'on a habillé la marié, mais il y croit malgré tout.

La première dose de venin commence à faire son effet. Il commence à voir boîte qui l'emploi différemment, pense déjà que le salariat c'est pour les autres, que ceux qui font son job de toutes façons voudront se barrer aussi dans deux ans, mais lui se sent au dessus de tout ça, car il un projet.


Entre temps, notre développeur lui enverra un dossier complet. C'est la règle, des informations contractuelle, et/ou pré-contractuelle, une belle plaquette avec des photos de gens qui sourissent et respirent la joie de vivre, et même des bilans et comptes de résultats prévisionnels.

Deuxième morsure. Le compte de résultat et/ou business plan. Remarquable.

Pas trop optimiste, sinon pas crédible. Juste ce qu'il faut.
Disons pas trop d'apport, entre 15 000 et 35 000, le reste on l'emprunte.
Ensuite, le salaire, disons dans les 2000  la première année, c'est moins que quand on était salarié, mais c'est crédible, car on sait que la première année  c'est difficile. Notre salarié doit donc se dire, ok je vais faire un effort la,première année, et après ce sera mieux.

Pour la deuxième année effectivement, le salaire passe à 2500, et on prévoit même un peu de bénéfice. Disons 10 000 euros.
C'est bien 10 000 euros, c'est juste ce qu'il faut pour se dire, c'est mieux que la participation aux bénéfices en tant que salarié, et je vais presque retrouver mon ancien salaire. Encore un effort et après c'est bon.

La troisième Année c'est 3 000  de salaire (net, brut, on sait pas trop) et 20 000 de bénéfices (avant IS bien-sûr, mais comme on sait pas vraiment calculer l'is...)
La quatrième on reste à 3 000 de salaire parce qu'on estime que quand on est gérant c'est le minimum, et 30 000 de bénéfice parce qu'il faut donner l'impression que ça progresse et que ça vaut le coup le prendre des risques).
Et puis une fois que l'on a remboursé le credit les bénéfices pourront passer à  50 000 euros.

Notre salarié ne  retiendra que ces chiffres, et en conclura : je mets mes 30 000 d'économie, je négocie mon départ à minimum 15 000, je prends le chômage pendant 2 ans ou la prime de pôle emploi quand on crée sa boîte, et ça doit le faire.

Le venin de la deuxième morsure fait son effet. Il a plus qu'un projet, il se projette. En fait il a déjà un pied en dehors de sa boîte.

Il se passe quelques jours, puis le développeur revient à la charge, sonder notre salarié, lui demande si il a des questions, oui bien sûr quelques unes, il répondra aux plus simples puis concluera par : " le plus simple c'est encore que l'on se rencontre".

Devinez où  ? Chez un des franchisés, et un qui tourne bien tant qu'à faire. Si il n'y en a pas, il proposera une réunion d'information dans un hôtel type Mercure ou Novotel, voir directement au siège de la société, et proposera même un entretien individuel après pour  ceux qu'il jugera les plus intéressés.
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