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Ludovic Matten

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Pourquoi écrire sur la location immobilière ?

Pour se faire plaisir, pour vous faire plaisir. Pour aider, partager, commenter. Nul ne connaît la vérité, mais en s’informant, on apprend et on évite les erreurs. Dans l’immobilier, plus qu’ailleurs, il faut tout faire pour minimiser les risques. Surtout en temps de crise.
 

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    LUDOVIC MATTEN


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Investir dans l'immobilier locatif malgré la crise

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Nombre de commentaires : 5 réactions
L’un des plus sûrs leviers pour s’enrichir reste l’immobilier. L’immobilier de rapport, l’achat-revente ou l’investissement saisonnier. Contrairement à ce que l’on veut bien nous faire entendre, il est encore temps d’investir… Pour certains, il est l’heure de se retrousser les manches.

Petite discussion hier avec une collègue de travail. Il y a deux ans, elle a acquis, avec son mari, une énorme maison d’architecte. Un bien hors-norme, avec piscine intérieure, un parc qui sert de jardin, des m2 habitables à ne plus savoir qu’en faire. Bref, un coup de folie qu’il a fallu rénover. Pour pouvoir en profiter pleinement.

« Aujourd’hui, c’est clair, on va se calmer »

Il y a moins de deux ans, cette jeune maman et son homme entrepreneur n’en menaient pas large devant les banquiers. En effet, son mari ne cessait d’investir. Dans la pierre évidemment. Il possède une cinquantaine de garages, une dizaine d’appartements… et pas de revenus fixes ;)Imaginez la tête du banquier quand ils lui ont appris qu’ils avaient acquis un bien à plus de 300 000 euros, qui nécessitait plus de 150 KE de travaux. Rien que le prix de la toiture, qui fuyait, dépassait le coût de n’importe quel studio en province…

Bref, je me souviens de sa réflexion : « On nous a obligé à solder quelques crédits immobiliers pour pouvoir emprunter et effectuer les travaux sur notre résidence principale. Aujourd’hui, c’est clair, on va se calmer. On n’a plus les moyens d’acheter… »

Où se trouvent ces perles ?

C’était, je le rappelle, il y a deux ans. En ce début d’année 2013, nouvelle conversation, qui a rapidement tourné vers… l’immobilier. « Oui, mon homme a racheté un deux-pièces« , a-t-elle lâché. Eh oui, ce garçon ne peut s’en empêcher. D’autant qu’en hiver, son activité est mise en sommeil (il travaille dans le domaine des piscines). Il a donc le temps de dénicher quelques perles.

Où ? Pas dans les très beaux quartiers. Il continue à investir dans des zones dites sensibles, de réaménagement urbain. Pas très glamour. Mais vraiment porteur. Ses investissements sontTOUJOURS rentables, les loyers couvrant (largement) le crédit. Beaucoup d’investisseurs ne se déplacent pas dans ces quartiers (attention, ce n’est pas une zone de non-droit non plus). « Des appartements propres et rénovés trouvent rapidement des locataires« , éclaire ma collègue. Ces biens ne sont jamais vacants bien longtemps. « Car situés près de la rocade« , ajoute-t-elle. Ce ne sont pas de grands ensembles (pas plus de 3 ou 4 étages), ils séduisent les personnes qui n’ont pas de gros revenus. « Des étudiants ou des jeunes actifs« .

Mais pourquoi continuer à investir, en ces temps de crise ? « Qu’importe, répond cette journaliste. Les taux sont historiquement bas et la rentabilité restera, quoi qu’il arrive, fort appréciable« . N’est-ce pas le plus important ? Aux grincheux, qui n’attendent qu’une baisse générale pour se lancer, méditez. Pas trop longtemps, car pendant que vous doutez, les vrais investisseurs s’enrichissent…
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5 commentaires

  • Lien vers le commentaire Ludovic Matten lundi, 01 avril 2013 17:04 Posté par ludovic matten

    Bonjour Christine,
    Je vous encourage à lire mon livre pour comprendre l'avantage du loueur en meublé. On peut gagner des milliers d'euros par an et n'avoir à reverser que la taxe foncière à l'Administration fiscale.

    www.passion-locatif.com/location-saisonniere/

    Après, il existe des options pour se prémunir face à des locataires indélicats.
    Sauf si vous achetez dans un endroit pourri, sans aucune perspective, je ne vois pas comment vous ne pouvez pas gagner d'argent grâce à votre bien immobilier. 

  • Lien vers le commentaire Ludovic Mat vendredi, 29 mars 2013 23:18 Posté par ludovic matten

    Zut, cher Cosmos, j'ai perdu toute ma réponse. Elle était pourtant belle et détaillée. 
    Même s'il est tard, je vais m'efforcer de la refaire.

    Mon cher Cosmos,

    Complètement à côté de la plaque, dites-vous ? J'ai des dizaines d'exemples à vous livrer. Si vous le souhaitez, nous pourrons en parler.

    Plus forte, votre réflexion suivante ;  
    "Peut-être que monsieur est très investi en immo locatif et essaye tant bien que mal de faire croire aux autres que les arbres montent au ciel alors que beaucoup de résidences secondaires en France ont subi une importante baisse de valorisation depuis 2008..."

    Je ne fais croire rien du tout. Et je n'essaye pas de vous convaincre. Une personne qui n'a jamais investi et qui préfère critiquer les autres n'investira de toute façon jamais. Les résidences secondaires auraient donc, depuis 2008, perdu de leur valeur...

    Bien, je vais parler de ce que je connais. J'ai acheté en août 2009 un appartement 50 K€, travaux 18 K€ ; appartement revendu en décembre 2012 93 K€ (et le nouveau propriétaire est ravi. Il a réalisé une superbe saison hivernale).
    Autre exemple : j'ai acquis le 1er décembre 2010 un appartement de 35 m2 au prix de 85 K€ fraisnde noraire inclus. Avec l'accord du vendeur, j'ai réalisé les travaux avant la signature de l'acte. Coût des travaux: 15 K€. Le 15 décembre 2010, un couple m'offrait 150 K€ pour cet appartement aujourd'hui valorisé entre 160 et 170 K€.

    Les prix vacillent, je ne dis que des bêtises... donc j'achète. Dans les prochaines semaines, je serai prorpritéiare d'un nouvel appartement dans la même station. J'achète également un appartement en centre-ville, à un prix qui me semble intéressant.

    Il y a 6 mois, j'ai acheté deux appartements, dans un bourg, au prix de 51 K€ FNI. Montant du remboursement mensuel ? 370 €. Montant des loyers : 750 €.

    J'en ai fini, car après, vous allez me dire que je ne parle que de moi. Je cherche juste à démontrer qu'il est possible, encore... et même depuis 2008, à s'enrichir avec l'immobilier. Pour votre gouverne, je ne suis pas né riche, je ne le suis pas du tout, je cherche juste à m'enrcihir un peu grâce à l'immobilier et à une fiscalité, le meublé, très avantageuse.

    Si vous souhaitez trouver des biens encore rentables, je peux vous mettre en relation avec un agent immobilier qui vous trouvera, demain, des biens à 10% de rant brute. Mais évidemment, pour cela, il faut croire à son investissement. Et s'investir, quitter son clavier et sa télé...

    Si vous avez d'autres remarques, n'hésitez pas...
    Bien à vous
    Ludovic 

  • Lien vers le commentaire alex6 dimanche, 17 mars 2013 23:13 Posté par alex6

    "L’un des plus sûrs leviers pour s’enrichir reste l’immobilier."
    L'un des plus surs leviers pour dilapider son capital est de baser ses investissements sur les performances du passe en faisant fie de la configuration presente.
    L'hypothese optimiste nous indique des perspectives de baisses des prix d'environ 1% par an sur une periode de 10ans au minimum. Beau desastre financier en perspective pour ceux qui jouent du fameux effet de levier...