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Henri Dumas

Henri Dumas

Libéral convaincu,  je tire des expériences de ma vie une philosophie et des propositions.
Le tout sans prétention de vérité.
Mon blog : www.temoignagefiscal.com

 
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Si j'ai bien compris la règle du jeu... je passe

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Le pass sanitaire est-il une simple attestation de vaccination ?

Une marque initiatique destinée à se retrouver entre personnes obéissantes, entre bons élèves.

C’est alors beaucoup de bruit pour pas grand-chose, puisque l’on sait que le vaccin est à effet limité pour son efficacité immédiate et à effet périmant dans le temps.

Ce n’est donc pas le cas.

Le pass sanitaire est-il destiné à débusquer les cas contacts ?

C’est-à-dire que la trace repérée de votre passage au restaurant va permettre de vous contacter et de vérifier votre situation sanitaire, s’il se trouve qu’au même moment était présente une personne qui va être testée positive quelques jours plus tard.

Il semblerait que ce soit le cas.

Or, vous êtes évidemment vacciné, sans quoi vous n’auriez pas pu partager ce moment de bonheur gustatif devenu douloureux du fait de la présence d’un contaminé, lui aussi vacciné, car sans quoi…. etc.

Donc, devenu cas contact, vous devez vous faire tester et, pendant sept jours, éviter les personnes à risque – ce qui vous amène à demander aux autres s’ils sont “à risque”, rien n’étant écrit sur le bout de leur nez –. Pendant ces sept jours vous devez prendre journellement votre température, pour cela vous pouvez obtenir gracieusement les services d’une infirmière diplômée d’Etat – c’est la moindre des choses –. Au bout de ces sept jours re-test.

Je résume

Vous allez au restaurant, un voisin de salle vacciné est testé positif quelques jours plus tard, les emmerdements sévères commencent pour vous, alors que vous aussi êtes vacciné…

Le mieux c’est quand même de ne pas aller au restaurant. Requiem pour les restaurateurs.

Mais attention

Deux tricheries catastrophiques doivent être combattues pour que vive ce plan génial de technocrates essayant de dissimiler les carences stupéfiantes de l’organisation étatique de notre santé que le monde entier nous envie.

D’abord celle des tenanciers.

Elle est maitrisée. Tous les tenanciers de bar, tous les restaurateurs, connaissent la rapidité préfectorale à dégainer les fermetures administratives. Pas de gros problème, c’est une population docile, terrorisée depuis si longtemps par la préfectorale et par Bercy.

Il en est tout autrement de celle des consommateurs — lèche-culs — concernés.

Ils sont vaccinés, ne l’oublions pas. Ils exigent en échange de cette marque de soumission des signes de déférence. Ils risquent donc de ne pas se plier facilement aux injonctions prévues pour cette situation. En un mot ils risquent de tricher, de ne pas se soucier de savoir s’ils croisent ou non des personnes “à risque”, voire de ne pas prendre leur température tous les jours, ou encore de ne pas se soumettre aux deux tests préconisés.

Ce serait bien, convenons-en, une catastrophe.

Donc, comprenez-le, il faut organiser une surveillance appropriée. Probablement qu’un corps de surveillants sanitaires va être mis en œuvre, accompagné des moyens nécessaires : assermentation, port d’arme, etc…

Ils devront-être très nombreux pour pouvoir être efficaces, ils auront évidemment le statut de fonctionnaire, donc l’emploi à vie, donc ils seront là pour toujours.

D’un côté un pass-sanitaire qui dit tout de nous et sait en temps réel où nous sommes, de l’autre une escouade inévitable de fonctionnaires pour surveiller les tricheurs potentiels face à ces lourdes contraintes, bon sang mais c’est… bien sûr… on connait, c’est Bercy, l’identique, le jumeau.

Décidemment, c’est décidé pour moi : plus de restaurant, plus de ciné, plus de dehors, je reste chez moi en attendant que ça passe le pass….

Bien à vous. H. Dumas
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