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Henri Dumas

Henri Dumas

Libéral convaincu,  je tire des expériences de ma vie une philosophie et des propositions.
Le tout sans prétention de vérité.
Mon blog : www.temoignagefiscal.com

 
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La violence extrême

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On sent bien que la tension est forte, que la violence extrême est là, à notre porte.

Les différents attentats passés, évidemment absolus pour les victimes, sont très relatifs pour la masse, je dirais même insignifiants.

Il ne faut jamais perdre de vue que le ressenti individuel lors de sa propre mort, notamment lorsqu’elle est injuste, est une souffrance et une douleur majeures pour l’être humain. Tous les compassionnels se foutent de la gueule du monde quand ils prétendent partager l’horreur de ces instants, qui n’est pas partageable.

Cependant, il est des temps où la mort et la souffrance sont distribuées sans limite, où chacun peut en ressentir la proximité, où un grand nombre les rencontrent, où peu en réchappent.

Ces périodes laissent des traces indélébiles, malheureusement exclusivement à ceux qui les ont vécues, les autres ne sont pas en mesure d’imaginer l’inimaginable.

Moyennant quoi, un jour, tout recommence. C’est une certitude.

Mais comment savoir quand et pourquoi ?

De ce qui est dit, Il y aurait d’abord une sorte de désespérance qui s’empare de la société, une perte de confiance en l’avenir. Puis un manque de confiance dans les autres et en soi. Une désorganisation. Une démesure des égoïsmes.

Mais cela ne suffit pas.

Il faut un moteur à la violence. La faim ou la peur d’avoir faim, de manquer. Le lion vit à quelques mètres de la gazelle qu’il laisse en paix tant qu’il est repu. S’il a faim, il lui saute dessus et la dévore violemment.

L’homme n’est pas différent. A partir de ce constat les choses se précisent.

On aurait pu imaginer que la faillite de Bercy allait entrainer la guerre, la violence ultime, je l’ai cru, j’en doute fortement aujourd’hui.

En France, comme dans les autres pays où cela est arrivé, où les hommes de l’Etat ont fait faillite, c’est le système démerde qui se mettra en place et palliera leur incurie. Donc les petits meurtres entre amis de Bercy ne sont pas un détonateur suffisant pour entrainer le chaos, juste le bazar, supportable pour les démerdards, mortel que pour ceux qui auront eu la malchance d’être entre les mains de Bercy agonisant.

En revanche, lorsque de pseudo-scientifiques nous annoncent que la terre, le 29 Juillet, a épuisé ses ressources… grave danger.

Le message est clair, nous sommes trop nombreux, il va falloir partager la misère, ou… être moins nombreux…

Si ça ce n’est pas un appel direct au meurtre, qu’est-ce ?

Dire aux hommes qu’ils sont responsables, par leur nombre, leur attitude, leur progrès, de leur future disparition, ne peut que les dresser les uns contre les autres. C’est comme crier au feu dans un cinéma bondé.

Résultat, les plus forts marchent sur la tête des plus faibles, soit par la force brute, soit par la fourberie, mais sans exception.

Les écolos sont de grands malades.

Napoléon a liquidé, au nom de la révolution, quelques millions d’européens, Hitler a vu plus grand, il en a liquidé mondialement quelques dizaines de millions, Lénine et Mao ont fait plus fort ils ont atteint à minima la centaine de millions, les écolos devraient atteindre avec leur stratégie fatale un désordre gigantesque qui côtoiera probablement le milliard .

Le venin qu’ils distillent flatte l’égo des “initiés”, qui montrent du doigt ceux qui tentent de se hisser à hauteur de la vie, en les dénonçant comme sans respect pour la nature qu’ils tentent en effet de combattre pour vivre, tout simplement.

L’Europe est en tête de l’écologie, l’Europe est toujours en tête quand il s’agit d’éliminer les autres… c’est sa spécialité.

Après le meurtre pour l’égalité, voilà le meurtre pour la planète, tout un programme.

Au fait, ne comptez pas sur moi, je m’en vais… tué anonymement et sans gloire par le fisc.

Bien à vous. H. Dumas
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