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Henri Dumas

Henri Dumas

Libéral convaincu,  je tire des expériences de ma vie une philosophie et des propositions.
Le tout sans prétention de vérité.
Mon blog : www.temoignagefiscal.com

 
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Bercy est le mal

Audience de l'article : 1297 lectures
Nombre de commentaires : 1 réaction
Cette affirmation peut paraître ridicule aux croyants. Peut-être blasphématoire.

Le but principal d’une croyance est de dominer la raison des croyants au profit de ceux qui véhiculent la croyance. C’est l’inverse de la vie. C’est le chemin de la mort, de la disparition.

Toutes les énergies qui régulent la vie font en sorte que son évolution aille dans le sens de l’intérêt des porteurs de vie. Dans le cas contraire la vie disparaît.

Le moteur de la vie est l’intérêt.

Intérêt de chacun, du groupe, de l’environnement, moral, matériel, quelle que soit sa forme l’intérêt prime.

Sa définition, évolutive, doit impérativement être perçue à chaque instant, face à chaque situation.

C’est ici que la raison est essentielle, que l’obscurantisme attaché à toutes les croyances est mortifère.

Le bien consiste à évaluer correctement tous les intérêts liés à une situation et à les respecter scrupuleusement.

Le mal, inversement, piétine les intérêts des intervenants à une situation, pour tous ou pour partie, au profit de quelques-uns voire de personne.

Équilibrer les intérêts n’est pas accessible à tout le monde, les conflits d’intérêts sont multiples, en constante évolution, difficiles à mettre en perspective, souvent occultés par les intérêts de premier plan en fonction de l’observateur et de l’angle d’observation.

Servir les intérêts de la vie est l’honneur de l’homme, pour cela il a besoin de toute sa raison. Ceux qui prennent la responsabilité d’occulter la raison en véhiculant des croyances portent une lourde responsabilité face à l’humanité.

Comme la raison est la fille directe de la liberté, toute atteinte à la liberté est une atteinte à la vie.

Bercy est le mal

Bercy coche toutes les cases de la nuisance aux intérêts, qu’ils soient collectifs ou individuels, à l’aide d’une croyance égalitaire strictement basée sur la propagande que les résultats contredisent absolument.

Il ne fait aucun doute que Bercy soit le mal, sa propension à écraser tous les intérêts particuliers ou collectifs, de toute sorte, au profit exclusif du sien est une évidence qui n’échappe à personne.

Les questions sont :

Pourquoi cette évidence ne provoque-t-elle pas la disparition de Bercy ?

Comment le mal à un tel niveau peut-il perdurer ?

Quand le mal devient jouissance.

Là est le problème et le danger essentiel qui perturbent constamment le développement harmonieux de la vie : l’intérêt n’est pas toujours la solution la plus agréable, c’est même souvent son contraire.

La drogue est un bon exemple. Il n’est pas conforme à l’intérêt d’un individu de se droguer, mais que pèse l’intérêt face au plaisir, à la facilité. Restera, froidement, la souffrance d’affronter la mort pour le drogué qui se sera trompé d’intérêt.

Ici nous évoquons un intérêt dans sa phase personnelle. Il y a aussi une dimension collective évidemment. Il en est toujours ainsi, intérêts individuels et collectifs sont étroitement liés et doivent être concomitamment perçus et pris en compte.

Le mal rependu par Bercy produit une jouissance collective mortifère.

Il flatte la jalousie. Il alimente le plaisir de ceux qui affrontent des difficultés et trouvent un réconfort à en créer artificiellement à ceux dont ils pensent qu’ils n’en rencontreraient pas.

Tout ceci n’est qu’apparences évidemment, mais elles cachent l’intérêt général.

Ceux qui attisent et profitent de cette situation ne sont pas prêts à laisser filtrer la réalité, la vision réelle des intérêts en jeu. Au contraire ils entretiennent la croyance et la propagande, leurs alliées.

Dans ces cas-là, il faut attendre que les faits imposent la vérité, même si alors il est trop tard et si les intérêts bafoués ne sont plus perceptibles.

Les intérêts mal perçus, laminés, expliquent le parcours irrationnel de la vie, de la cellule primaire à l’être le plus sophistiqué, accompagné de tant de morts inutiles.

Bien qu’étant le mal, Bercy s’imposera jusqu’à ce que mort s’en suive, car Bercy est une œuvre politique, dont le socle est une croyance.

Contrairement à l’économie où les croyances ont la vie souvent brève et finissent en faillite, les croyances politiques peuvent durer des siècles par la force avant que se constitue l’énergie nécessaire à leur renversement.

Bien à vous. H. Dumas
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1 Commentaire

  • Lien vers le commentaire hftrade vendredi, 13 novembre 2020 18:38 Posté par hftrade

    La France est un beau pays pays certes, mais la kommandantur de  Bercy sur le bord de Seine  incarne un  mal francais, le pillage institutionnel . La republique francaise figure en effet actuellement en tete de liste noire mondiale des etats voyous en matiere fiscale (sommet OCDE en terme de pillage fiscal). Le francais moyen crache jusuqu'a 70% de son revenu annuel en taxes. Je n'ai jamais eu beaucoup d'admiration pour les peuples d'esclaves comme les francais mais soit...

    Meme le serf du Moyen-Age , ne reversait au roy de France que la moitié de sa recolte contrairement a l'esclave de Bercy/URSS-AF

    Les frouzes vous devriez retourner au moyen-age vous seriez moins taxés !!!