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Tous les commentaires de ce membre (848 publications)
Vos analyses sont justes mais quand vous parlez de "désindustrialisation" vous oubliez un facteur Énorme et Essentiel... La fulgurante hausse de la productivité depuis les 30 dernières années... Il n'y a pas que des Délocalisations... Il y a aussi le remplacement des hommes par les machines, robots et informatique qui joue un rôle énorme...! exemple : Foxcon en Chine qui veut mettre en place 1 Million de Robots en moins de 5 ans pour remplacer une bonne partie de ses ouvriers... !!! Si ça ce n'est pas un facteur de chômage... je ne sais pas ce qui peut l'être... ??? Pour moi ce n'est pas une "calamité" mais un énorme progrès... Simplement la société humaine actuelle n'a pas encore pris toute la mesure de ces bouleversements silencieux... et n'a pas encore réussi à s'organiser en conséquence pour s'y adapter...
Regardez donc ceci... Un immeuble de 30 étages, 150 appartements construits en 15 jours... C'est formidable mais cela est un gros facteur de chômage... !!! {{http://theextinctionprotocol.wordpress.com/2012/01/11/a-new-model-for-disaster-recovery-china-erects-30-story-earthquake-proof-building-in-15-days/}} A new model for disaster recovery? China erects 30-storey earthquake-proof building in 15 days Posted on January 11, 2012 January 11, 2012 – BEIJING – A development firm in China has erected a 30-storey hotel in just 15 days, or 360 hours. The developer, Broad Group, came under the global spotlight last year when it built a 16-storey residential block in China in just five days. And their latest project, which is located in the south-central Chinese city of Changsha is no less impressive. The ‘flat pack’ skyscraper was 90% pre-constructed in factories and then put together onsite. It uses one-sixth the materials of a comparable facility and is also an extremely energy-efficient building, combining thermal insulation, triple pane windows, external solar shading, fresh air heat recovery, and LED lighting. It is also earthquake-proof and is said to be able to withstand tremors of up to 9.0. Having perfected their novel approach to construction the company now aims to build another 150 30-storey apartment buildings, hotels and offices in the same manner. It is hoped that the ability to build property so quickly will revolutionize areas where property is in short supply. The company believes that their approach could be used to quickly construct environmentally-friendly homes in over populated urban areas and could also be used in disaster relief to construct new buildings quickly and efficiently. No doubt some British builders could take a leaf out of Broad’s book. –A Place in the Sun Posted in 2012, Earth Changes, Earth Watch | 9 Comments
Prise de conscience... (tardive... mais vaut mieux tard que jamais... !) {{http://liesidotorg.wordpress.com/2011/12/10/divorce-entre-vge-et-le-cartel-bancaire/}} {{Divorce entre VGE et le cartel bancaire ? }} 10 DÉC Il y a 48 heures, l’agence d’évaluation financière Standard & Poor’s a placé sous surveillance la note qu’elle accorde à la dette de l’Union européenne, à “AAA” depuis 1976, la meilleure possible, expliquant que le financement de l’Union allait subir les conséquences de la crise de la dette publique en zone euro. De plus, S&P a annoncé qu’elle envisageait d’abaisser la note de plusieurs banques de la zone euro, comme les françaises BNP Paribas, la Société générale, le Crédit agricole ou des allemandes. S&P envisage en outre d’abaisser la note de la dette de Paris et de l’Ile-de-France. Cette décision est intervenue à la veille d’un sommet européen à Bruxelles pour tenter de résoudre la crise de la zone euro. C’est dans ce contexte qu’est arrivé l’Américain, le représentant de commerce des parrains oligarques de Wall Street. Il s’agit bien sûr de Tim Geithner. Dans son numéro 240, LIESI fait état de son précédent passage… Timothy F. Geithner, Secrétaire américain au Trésor : « Si rien n’est fait rapidement, l’Europe sera confrontée à des défauts de paiement en cascade, des paniques bancaires avec des risques catastrophiques ». Nous terminons volontairement ces quelques citations très éclairantes avec Timothy F. Geithner. Lors de la dernière réunion du Conseil informel des affaires économiques et financières de l’Eurogroup (ECOFIN) à Wroclaw, en Pologne, les ministres des Finances furent surpris par la réaction de Timothy F. Geithner. Au cours de cette réunion, organisée sur le thème de la montée de la crise de l’endettement européen, le Secrétaire américain au Trésor s’est emporté et a réprimandé les Européens de ne pas fournir de nouveaux renflouements à la Grèce. Face à cette attitude, le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, a rappelé que la situation économique et financière de nombreux pays, dont celle des Etats-Unis, était bien plus critique que celle des 17 pays de l’Eurozone. Aussi a-t-il demandé si telle était la position du président Obama à l’égard de l’Europe. Timothy F. Geithner a alors surpris l’auditoire en affirmant, sous la colère : « Obama n’est pas le responsable, c’est moi ». Cela explique sans doute sa présence en Pologne puisqu’il n’y était pas invité. Il a donc été imposé ! Cette déclaration choquante de Timothy F. Geithner, affirmant qu’Obama ne dirigeait pas le pays, vient après d’autres allégations selon lesquelles Geithner aurait délibérément ignoré l’ordre reçu d’Obama de préparer un plan pour réduire progressivement la taille de Citigroup Inc. (naguère la plus grande banque au monde), dans le but de sauver l’économie américaine. Selon The San Francisco Chronicle, en 2009, Timothy F. Geithner a ignoré l’ordre du Président Obama de dissoudre Citigroup, basé à New York, plusieurs mois après que la banque ait reçu un renflouement de plusieurs milliards de dollars d’argent des contribuables. Timothy F. Geithner est manifestement protégé par l’establishment de Wall Street, qui pilote les dégradations des notes des dettes des pays européens, ainsi que celles de leurs banques ! Récemment, on a appris du New York Times Magazine que Geithner avait constitué une troïka composée du directeur du Conseil National Economique de la Maison Blanche, Larry Summers, et du responsable des opérations bancaires de Goldman Sachs, pour détourner de très grosses sommes d’argent du système économique. C’est en partie à cause de l’attitude de cette troïka que des dizaines de millions d’Américains furent privés de leurs maisons, que d’autres dizaines ont perdu leur travail, et que le niveau de pauvreté est monté à un niveau que l’on n’avait pas vu depuis les jours de la Grande Dépression des années trente. L’aigle visite ses victimes… Timothy F. Geithner est arrivé le 6 décembre 2011 en Europe pour une visite de trois jours. Il devait se rendre en Allemagne, en France et en Italie. Lors de son arrêt à Berlin, il a dit : «Je suis ici pour souligner à quel point il est important pour l’économie américaine et l’économie mondiale que l’Allemagne et la France réussissent à construire une Europe plus forte». Mensonge ! On sait que la faction représentée par ce personnage vise l’effondrement de l’Europe de l’Ouest. Le même agent de Wall Street a affirmé que ses amis allaient «continuer à soutenir un rôle constructif» du FMI dans la gestion de la crise. Timothy F. Geithner a aussi appelé à «des réformes pour créer l’architecture de l’union budgétaire pour rendre l’union monétaire plus viable à long terme». «La Banque centrale européenne joue un rôle central dans cette crise. Elle va à l’évidence continuer à le faire», a déclaré le secrétaire américain au Trésor, qui a rencontré le président de la BCE, Mario Draghi… une vieille connaissance. Coup de gueule et mea culpa de VGE Récemment, nous avons évoqué le rôle néfaste de VGE en qualité d’architecte du système mafieux qui est en train de couler les Etats européens, l’un après l’autre. Est-ce la lecture de l’ouvrage de Pascal Roussel Divina Insida qui l’a incité à réagir ? Nous l’ignorons. Mais le fait est que VGE est en train de mordre la main qui l’a longtemps tenu. Non seulement il s’en prend au Nouvel Ordre Mondial, mais surtout à sa partie américaine. Citons Le Monde : « L’ancien président Valéry Giscard d’Estaing juge inopportune la visite en Europe du secrétaire américain au Trésor, Timothy Geithner, qui revient selon lui à faire de l’Europe une victime offerte à tous les sacrificateurs mondiaux. La visite de Geithner est tout à fait inopportune et il n’a pas à se mêler des affaires de l’Europe. Les Français ne vont pas assister à la réunion de la Réserve fédérale, qu’est-ce que c’est que cette histoire ?, a dit Valéry Giscard d’Estaing à Reuters. L’Europe est devenue une espèce de victime offerte à tous les sacrificateurs mondiaux, c’est insupportable, a-t-il ajouté. L’ancien président français (1974-1981) s’élève aussi contre la spéculation venue des Etats-Unis, alors que l’agence de notation américaine Standard & Poor’s vient de mettre sous surveillance la note de la France et de quatorze autres pays de la zone euro. Cette spéculation n’est pas faite par les Européens, mais par les Américains, qui non seulement spéculent mais font le jeu des agences de notation, c’est insupportable, a considéré l’ancien président de la République ». Voilà enfin une bonne nouvelle. Les propos exprimés par l’ancien président de la République VGE sont d’autant plus intéressants qu’il témoigne avoir bien compris le rôle OCCULTE que les stars de la Haute Finance entretiennent avec Mammon. Pour employer des termes aussi forts que : L’Europe est devenue une espèce de victime offerte à tous les sacrificateurs mondiaux, il faut avoir compris bien des choses que nos contemporains sont tellement loin d’imaginer.
Juste en passant... http://lachute.over-blog.com/article-la-question-de-l-euro-91784545.html On est pas prêts de voir le chômage diminuer... : Sur le blog de yonanda, il y a un article intéressant en date du 6 décembre. 10 % du marché mondial, couvert avec... 15 employés. Moralité : il faut voir la tête des chinois et le problème qu'ils vont affronter... Je le cite in-extenso : " {{une équipe de chez nous a visite l’usine Panasonic a Osaka qui fabrique 10 % du volume mondial des écrans plats pour tv de 42 pouces; Chiffre d’affaires $ 2 milliards / mois Plusieurs dizaines d’hectares et….15 , je dis bien 15 employés en tout et pour tout Les Japonais sont en train de faire des progrès foudroyants dans la robotique Il y a 10 ans les robots de Fanuc ou de Panasonic pouvaient remplacer un travailleur paye $ 50 dollars de l’heure (GM) Nous en sommes apparemment à un seuil de $ 2 par heure (inférieur au coût du travail en Chine);Foxton (qui fabrique les Apple etc en Chine ) à 1 million d’employés (plus gros employeur du monde).Ils devaient passer à 2 millions dans les 3 ans Ils vont passer a … 500000 Les autorités Chinoises sont paniquées. Les responsables de Panasonic nous ont dit que d’ici 10 ans toutes les voitures du monde seraient construites par 100000 gars au plus, quant aux tv, cela emploiera 5000 personnes à tout casser Les usines vont de ce fait quitter l’Asie et retourner près des points de consommation, et mettre des droits de douane ne servira à rien, les usines seront chez nous et n’embaucheront personne.Avoir un cout du travail bas ne sert plus a rien."}}
Prise de conscience... (tardive... mais vaut mieux tard que jamais... !) http://liesidotorg.wordpress.com/20... Divorce entre VGE et le cartel bancaire ? 10 DÉC Il y a 48 heures, l’agence d’évaluation financière Standard & Poor’s a placé sous surveillance la note qu’elle accorde à la dette de l’Union européenne, à “AAA” depuis 1976, la meilleure possible, expliquant que le financement de l’Union allait subir les conséquences de la crise de la dette publique en zone euro. De plus, S&P a annoncé qu’elle envisageait d’abaisser la note de plusieurs banques de la zone euro, comme les françaises BNP Paribas, la Société générale, le Crédit agricole ou des allemandes. S&P envisage en outre d’abaisser la note de la dette de Paris et de l’Ile-de-France. Cette décision est intervenue à la veille d’un sommet européen à Bruxelles pour tenter de résoudre la crise de la zone euro. C’est dans ce contexte qu’est arrivé l’Américain, le représentant de commerce des parrains oligarques de Wall Street. Il s’agit bien sûr de Tim Geithner. Dans son numéro 240, LIESI fait état de son précédent passage… Timothy F. Geithner, Secrétaire américain au Trésor : « Si rien n’est fait rapidement, l’Europe sera confrontée à des défauts de paiement en cascade, des paniques bancaires avec des risques catastrophiques ». Nous terminons volontairement ces quelques citations très éclairantes avec Timothy F. Geithner. Lors de la dernière réunion du Conseil informel des affaires économiques et financières de l’Eurogroup (ECOFIN) à Wroclaw, en Pologne, les ministres des Finances furent surpris par la réaction de Timothy F. Geithner. Au cours de cette réunion, organisée sur le thème de la montée de la crise de l’endettement européen, le Secrétaire américain au Trésor s’est emporté et a réprimandé les Européens de ne pas fournir de nouveaux renflouements à la Grèce. Face à cette attitude, le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, a rappelé que la situation économique et financière de nombreux pays, dont celle des Etats-Unis, était bien plus critique que celle des 17 pays de l’Eurozone. Aussi a-t-il demandé si telle était la position du président Obama à l’égard de l’Europe. Timothy F. Geithner a alors surpris l’auditoire en affirmant, sous la colère : « Obama n’est pas le responsable, c’est moi ». Cela explique sans doute sa présence en Pologne puisqu’il n’y était pas invité. Il a donc été imposé ! Cette déclaration choquante de Timothy F. Geithner, affirmant qu’Obama ne dirigeait pas le pays, vient après d’autres allégations selon lesquelles Geithner aurait délibérément ignoré l’ordre reçu d’Obama de préparer un plan pour réduire progressivement la taille de Citigroup Inc. (naguère la plus grande banque au monde), dans le but de sauver l’économie américaine. Selon The San Francisco Chronicle, en 2009, Timothy F. Geithner a ignoré l’ordre du Président Obama de dissoudre Citigroup, basé à New York, plusieurs mois après que la banque ait reçu un renflouement de plusieurs milliards de dollars d’argent des contribuables. Timothy F. Geithner est manifestement protégé par l’establishment de Wall Street, qui pilote les dégradations des notes des dettes des pays européens, ainsi que celles de leurs banques ! Récemment, on a appris du New York Times Magazine que Geithner avait constitué une troïka composée du directeur du Conseil National Economique de la Maison Blanche, Larry Summers, et du responsable des opérations bancaires de Goldman Sachs, pour détourner de très grosses sommes d’argent du système économique. C’est en partie à cause de l’attitude de cette troïka que des dizaines de millions d’Américains furent privés de leurs maisons, que d’autres dizaines ont perdu leur travail, et que le niveau de pauvreté est monté à un niveau que l’on n’avait pas vu depuis les jours de la Grande Dépression des années trente. L’aigle visite ses victimes… Timothy F. Geithner est arrivé le 6 décembre 2011 en Europe pour une visite de trois jours. Il devait se rendre en Allemagne, en France et en Italie. Lors de son arrêt à Berlin, il a dit : « Je suis ici pour souligner à quel point il est important pour l’économie américaine et l’économie mondiale que l’Allemagne et la France réussissent à construire une Europe plus forte ». Mensonge ! On sait que la faction représentée par ce personnage vise l’effondrement de l’Europe de l’Ouest. Le même agent de Wall Street a affirmé que ses amis allaient « continuer à soutenir un rôle constructif » du FMI dans la gestion de la crise. Timothy F. Geithner a aussi appelé à « des réformes pour créer l’architecture de l’union budgétaire pour rendre l’union monétaire plus viable à long terme ». « La Banque centrale européenne joue un rôle central dans cette crise. Elle va à l’évidence continuer à le faire », a déclaré le secrétaire américain au Trésor, qui a rencontré le président de la BCE, Mario Draghi… une vieille connaissance. Coup de gueule et mea culpa de VGE Récemment, nous avons évoqué le rôle néfaste de VGE en qualité d’architecte du système mafieux qui est en train de couler les Etats européens, l’un après l’autre. Est-ce la lecture de l’ouvrage de Pascal Roussel Divina Insida qui l’a incité à réagir ? Nous l’ignorons. Mais le fait est que VGE est en train de mordre la main qui l’a longtemps tenu. Non seulement il s’en prend au Nouvel Ordre Mondial, mais surtout à sa partie américaine. Citons Le Monde : « L’ancien président Valéry Giscard d’Estaing juge inopportune la visite en Europe du secrétaire américain au Trésor, Timothy Geithner, qui revient selon lui à faire de l’Europe une victime offerte à tous les sacrificateurs mondiaux. La visite de Geithner est tout à fait inopportune et il n’a pas à se mêler des affaires de l’Europe. Les Français ne vont pas assister à la réunion de la Réserve fédérale, qu’est-ce que c’est que cette histoire ?, a dit Valéry Giscard d’Estaing à Reuters. L’Europe est devenue une espèce de victime offerte à tous les sacrificateurs mondiaux, c’est insupportable, a-t-il ajouté. L’ancien président français (1974-1981) s’élève aussi contre la spéculation venue des Etats-Unis, alors que l’agence de notation américaine Standard & Poor’s vient de mettre sous surveillance la note de la France et de quatorze autres pays de la zone euro. Cette spéculation n’est pas faite par les Européens, mais par les Américains, qui non seulement spéculent mais font le jeu des agences de notation, c’est insupportable, a considéré l’ancien président de la République ». Voilà enfin une bonne nouvelle. Les propos exprimés par l’ancien président de la République VGE sont d’autant plus intéressants qu’il témoigne avoir bien compris le rôle OCCULTE que les stars de la Haute Finance entretiennent avec Mammon. Pour employer des termes aussi forts que : L’Europe est devenue une espèce de victime offerte à tous les sacrificateurs mondiaux, il faut avoir compris bien des choses que nos contemporains sont tellement loin d’imaginer.
Le pire dans ce désastre annoncé est que les peuples sont maintenus dans l'ignorance, la mièvrerie des infos stupides quotidiennes où personne ne parle des vrais problèmes... et certes les gens sont très heureux de ne pas y penser aussi... Quand tout cela va leur "tomber sur la gueule du jour au lendemain"... c'est là que ça va vraiment faire Mal (comme en Grèce...) et que le CHAOS va s'installer partout et très rapidement ! C'est pour cela que je pense qu'ils nous concoctent une petite 3ème WW pour accompagner le chaos économique et social => mesures fascistes d'urgence... !
"quelques années" vous êtes très optimiste ChrisDum... moi je dirais quelques mois tout au plus... !
Les gauchistes très "démocratiques" cassent tout à Dauphine pour empêcher Marine Le Pen de débattre... ! http://www.frontnational.com/videos/dauphine-des-milices-gauchistes-empechent-marine-le-pen-de-debattre-avec-les-etudiants/
M. Jean, dans une cité de la région parisienne : "Tout le monde se fout de notre sort" Reportage | | 06.12.11 | 15h29 • Mis à jour le 06.12.11 | 15h34 C'est une cité sans renommée, dans une petite ville de la banlieue parisienne. Des immeubles proprets, de quatre ou cinq étages, pas plus. Il y a un arrêt de bus où les bus s'arrêtent encore. Il y a quelques commerces de proximité, un centre social et un poste de la police municipale. Le centre-ville est à 300 mètres à peine, mais c'est déjà un autre monde. "Ici, monsieur, nous vivons dans une bulle. Nous sommes abandonnés à nous-mêmes." M. Jean, 75 ans, et Mme Françoise, 64 ans, habitent à quelques numéros l'un de l'autre. Une fois obtenue la promesse de ne pas être reconnus ("Ça peut être risqué pour nous"), la parole se débonde en un flot ininterrompu, pendant plusieurs heures. M. Jean, un ancien photograveur, est arrivé ici, avec sa femme et son enfant, à la fin des années 1960. La construction des immeubles n'était pas encore achevée. Les voisins étaient alors des fonctionnaires de La Poste ou d'autres administrations, des militaires, des ouvriers de l'usine voisine. "Tout le monde travaillait. On se connaissait. On laissait la porte ouverte." "On causait les uns avec les autres", poursuit Mme Françoise, employée trente-huit ans dans un grand magasin et qui a emménagé en 1986. "ENTASSÉS DANS DES F3" Quand tout cela a-t-il commencé à déraper ? "C'est difficile à dire. Quand on s'aperçoit des choses, c'est trop tard." M. Jean situe tout de même le basculement dans les années 1980. La cité a commencé à accueillir des familles délogées des squats de Paris qui entravaient les projets immobiliers de prestige dans la capitale. "Elles ont commencé à s'installer à un bout de la rue et puis ont remonté à chaque appartement libéré. On mettait quatre personnes dans un logement et on en voyait d'autres arriver avec des valises d'on ne sait où. Très vite, les gens se sont entassés dans des F3." Quand il s'agit de décrire les nouveaux venus, le discours s'embarrasse un peu, les mots deviennent encombrants, le vocabulaire forcément connoté. Alors on cherche, on change : les étrangers, les immigrés, les Noirs, les Africains, les Arabes, les Maghrébins. Les anciens habitants, eux, sont partis, appartement après appartement. Autres circonvolutions, contorsions de langage pour décrire cette population en fuite : les Français, les Gaulois, les Blancs. Mme Françoise et M. Jean sont restés. L'ancien photograveur décrit la paupérisation croissante du voisinage. "Plus personne ou presque ne travaille, décrit cet homme investi de fonctions associatives qui lui permettent de pousser les portes fermées. Quand on entre dans certains appartements, y compris ceux des Français qui restent, on voit des choses incroyables, des gens entassés, de la misère." DROGUE CACHÉE DERRIÈRE LES COMPTEURS Depuis les années 1990, les petits trafics ont gangrené le voisinage, les cambriolages n'ont cessé de se multiplier. "Je vois des jeunes circuler à bord de voitures comme jamais je ne pourrais en avoir alors qu'ils sont officiellement au RSA. Ici, c'est tout petit. On connaît la situation de chacun." Mme Françoise dit retrouver régulièrement de la drogue cachée derrière les compteurs. Elle ne descend plus seule dans sa cave. Même si sa cité a été épargnée par les émeutes de 2005, elle voit régulièrement de ses fenêtres des voitures brûler sur le parking, notamment au Jour de l'an. "Grande gueule", comme elle se décrit elle-même, Mme Françoise n'a jamais hésité à expulser les jeunes qui investissaient le hall. Cela lui vaut des déboires. Il y a un mois, sa guimbarde, vieille de 20 ans, a été vandalisée. En mai, elle a été agressée en bas de chez elle, s'est retrouvée avec des points de suture à la tête. "Régulièrement, je me fais insulter." "Les gamins jouent en toute impunité à des choses qu'ils voient à la télévision ou entendent avec le rap, explique M. Jean. Ils refont l'histoire. Pour eux, on reste les colons. Chez les parents, c'est la loi du silence. Ils n'osent rien dire. Ils ont peur de leurs enfants ou peur de la police parce qu'ils sont en situation irrégulière." Il y a peu, les deux témoins voient également la religion musulmane prendre la rue. "Depuis un an ou deux, les femmes sortent maintenant avec le voile. La fille de ma voisine s'est mise à le porter, il y a six mois. Ça m'a fait un choc. Les hommes se laissent pousser la barbe et s'habillent à la pakistanaise." Une salle de prière devrait bientôt ouvrir dans la cité. EN DÉCALAGE Alors, Mme Françoise et M. Jean ont commencé à se sentir en décalage, pour ne pas dire esseulés. "Nous nous retrouvons enfermés dans un ghetto", résume M. Jean. Ils se sentent intrus dans "leur" cité. "On me conseille de partir, on me dit que je n'ai pas à occuper seule un appartement de 60 m2, dit Mme Françoise, qui a perdu son mari. Je ne demande pas mieux que de me barrer mais je n'en ai pas les moyens." La veuve dont la retraite est de 1 250 euros, paye 506,95 euros de loyer pour son F4. "Je ne pourrais jamais trouver ça ailleurs avec mes revenus." M. Jean touche 2 100 euros de retraite avec sa femme, et paye un loyer de 652 euros pour un appartement de 82 m2. " Si je pouvais partir, pensez bien que je le ferais. Mais j'ai passé l'âge d'acheter." Alors M. Jean a fait une demande de logement social dans le Var qu'il renouvelle chaque année, sans grand espoir. "Tout le monde se fout de notre sort", estime M. Jean. C'est sans doute le plus cruel. "La police nous dit qu'elle n'ose pas intervenir car elle craint de mettre le feu aux poudres." Le bailleur social, lui, a ses bureaux dans les beaux quartiers de Paris. "Quand vous vous retrouvez autour d'une table avec ces gens-là, vous sentez que vous n'êtes rien." Un constat amer que ne confirment pas exactement les importants travaux de rénovation entrepris par le bailleur et la municipalité ces dernières années. "LES POLITIQUES NOUS ONT OUBLIÉS" Quant aux hommes politiques... Mme Françoise explose d'un rire sardonique. "Ils nous ont oubliés. La cité ne vote pas. La participation atteint à peine 30 %. Alors nous n'intéressons personne." Les deux voisins avaient choisi Nicolas Sarkozy en 2007. "J'y ai vraiment cru", assure M. Jean. Il éprouve aujourd'hui plus que de la déception, de la révulsion pour "cet homme qui nous a trompés, qui a dit qu'il s'occuperait de nous et qui ne s'est occupé que de ses amis les riches". Aujourd'hui, affirme Mme Françoise, "ce qui se passe à la télé, ce qu'il dit à l'Elysée, on s'en balance, ça ne nous concerne plus". Ils iront quand même voter puisqu'ils l'ont toujours fait. Mme Françoise a arrêté son choix : "Sarkozy ? Il n'y a pas de risque que je me fasse avoir à nouveau. A gauche, il n'y a personne qui puisse vraiment changer les choses. Alors, pour moi, je vous le dis tout net, ce sera Marine Le Pen et tant pis si ça pète." M. Jean, ancien syndicaliste chrétien, ne peut se résoudre à ce choix. "C'est contraire à mes convictions. Je ne me suis pas encore fixé. Je regrette que le vote blanc ne soit pas comptabilisé." Il soupire. "Pourquoi ces gens-là ne sentent-ils pas que nous n'en pouvons plus ?"
{{ Eurozone To Avoid Any Popular Vote In Treaty Change Submitted by Tyler Durden on 12/06/2011 - 13:23 Eurozone Germany Goldman Sachs goldman sachs United Kingdom}} Why bother with the one true barbarous relic - democracy - when good ole' fascism will suffice. As The Telegraph's Bruno Waterfield reports, "EU to avoid any votes - parliamentary or popular on treaty change - via obscure Lisbon Treaty 'passerelle' clause, Art. 126 (14) via protocol 12. "This decision does not require ratification at national level. This procedure could therefore lead to rapid and significant changes," says confidential Van Rompuy text. Funnily enough, only Britain will have to have a parliamentary vote under the Tories recent Sovereignty Act even though it is eurozone only changes." And that is how a bunch of corrupt kleptocratic incompetent eurocrats usurp all power in a regime now entirely controlled by Goldman Sachs. Unless, of course, the UK once again stops the insurgent takeover of the insolvent continent by the squid.