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{{Marine Le Pen sur la fermeture de Megaupload}} : Dans un communiqué, Marine Le Pen a estimé que l’attitude de Nicolas Sarkozy « a de quoi laisser songeur. »
« Nicolas Sarkozy fonctionne avec les internautes comme avec les automobilistes en les rackettant pour colmater les brèches laissées par sa gestion dispendieuse des deniers publics. »
La candidate a exprimé ses propositions en matière de liberté sur internet :
{{« Candidate à l’élection présidentielle, Marine Le Pen proposera immédiatement l’instauration d’une licence globale pour les échanges privés sur Internet, qui doivent rester libres sans que cela ne prenne en otage les ayants droit, producteurs, auteurs-compositeurs et interprètes.
La liberté sur internet sera fermement défendue contre toute tentative (HADOPI, LOPPSI 2 Traité ACTA) visant sous divers prétexte à la restreindre.
Quant à Nicolas Sarkozy, les Français auraient sans doute aimé le voir aussi déterminé à lutter contre la criminalité dont ils sont les victimes au quotidien, et qui elle n’est pas virtuelle. »}}
Et maintenant les gouvernements vont interdire aux institutions de vendre les obligations d'états... !!!
http://www.zerohedge.com/news/der-verkauf-ist-verboten-germany-considers-ban-sovereign-bond-sales
{{Der Verkauf Ist Verboten - Germany Considers Ban On Sovereign Bond Sales
}}Submitted by Tyler Durden on 01/14/2012 - 17:11
AIG American International Group Bond Capital Markets European Central Bank Germany Institutional Investors Insurance Companies Investment Grade Rating Agency ratings SocGen Unemployment
When back in August, Europe declared a short selling ban of any financials (here we are willing to channel Romney, and make a $10,000 bet with anyone that said ban will never be lifted), and which as we predicted has had no favorable impact on bank stocks which have since tumbled, we suggested that the next step will also be the final one: the passage of laws prohibiting sales of any kind. As usual we were partially joking. And as so often happens, we are about to be proven right again. As the FT reports in its headline article today, whose gist is simple enough, that Europe is on the verge, it is the tactically-placed final paragraph that is of particular curiosity. It says the following: "Speaking on the fringes of a start-of-year retreat of her Christian Union lawmakers in the city of Kiel, Ms Merkel said she would consider calls from her party colleagues for legislation to bar institutional investors such as insurance companies from selling bonds when ratings were downgraded, or fell below investment grade." Allow us to recopy and repaste the key part:
{{"legislation to bar institutional investors such as insurance companies from selling bonds."}}
{{Voila pourquoi Fitch n’a pas encore dégradé la France...}}
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marc_Ladreit_de_Lacharri%C3%A8re
Marc Ladreit de Lacharrière passe son enfance dans le château familial de Lacharrière, dans le Vivarais ardéchois Il est boursier de la Fondation Zellidja en 1958, fait des études de sciences économiques à Paris puis il est reçu à l’École nationale d’administration, promotion « Robespierre » (janvier 1968 - mai 1970) dont il sort dix-septième (sur 250 élèves). Il démissionne aussitôt de la fonction publique et entre à la Banque Indosuez où il occupe divers postes de direction jusqu’en 1976, avant d’intégrer le groupe L’Oréal dont il devient vice-président-directeur général (1984-1991). Il est parallèlement administrateur de Synthélabo (1986-1991), du Crédit lyonnais, d’Air France, de France Télécom, du musée du Louvre. En 1991, Marc Ladreit de Lacharrière crée son propre groupe, la Financière Marc de Lacharrière (Fimalac). Fimalac prend des participations dans diverses sociétés.
{{Elle détient l’agence de notation financière Fitch Ratings et Algorithmics, société spécialisée dans l’analyse et la gestion du risque}}. Marc Ladreit de Lacharrière est administrateur du groupe Casino, de L’Oréal, de Renault depuis 2000, membre du Conseil consultatif de la Banque de France depuis 1972.
{{De 1989 à 1993, il est membre du comité de direction du Groupe de Bilderberg. Il est président de la section française du groupe Bilderberg.}}
Il est président de La Revue des Deux Mondes, revue intellectuelle française. Mécène du musée du Louvre, il a été élu à l’Académie des beaux-arts en 2006 au fauteuil de Gérald Van der Kemp (section des membres libres). La même année, il crée la Fondation Culture & Diversité avec, pour premiers partenaires, le Théâtre du Rond-Point, l’association La Source, l’École du Louvre, puis les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis, les Amis de Magnum Photos, les écoles supérieures d’art et les classes préparatoires publiques d’Ile-de-France, et la Fémis. La mission de la Fondation est de mettre la culture, les arts et les pratiques artistiques au service de la cohésion sociale et de l’égalité des chances pour les jeunes de l’éducation prioritaire. En 2007, il devient président du conseil d’administration de l’Agence internationale des musées de France (France Muséums), organisme chargé notamment de réaliser le musée du Louvre à Abou Dabi. De 2006 à 2009, il présida l’Association des Amis de Vaux-le-Vicomte. En 2007, il fait son entrée dans le classement des milliardaires français avec une fortune nette estimée de 1,6 milliard d’euros5. Sa fortune étant largement liée à son patrimoine professionnel - à savoir Fimalac, cotée en Bourse -, celle-ci a été réévaluée en 2009 à la baisse à hauteur de 922 millions d’euros (35e en France)6. En 2008, en plus des dividendes empochés au titre d’actionnaire majoritaire de Fimalac, il a touché une rémunération de 2,4 millions d’euros comme dirigeant de la société7. En 2010, Marc Ladreit de Lacharrière crée, avec la journaliste franco-tunisienne Sonia Mabrouk, l’Association des Musées Méconnus de la Méditerranée (AMMed). Celle-ci a pour objectif de mettre en valeur des musées et lieux de culture peu connus du grand public afin de promouvoir le dialogue et le rapprochement des peuples entre les deux rives de la Méditerranée.
{{Il est élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d’honneur le 31 décembre 2010.}}
Très peu savent que Fitch, l’une des trois principales agences de notation (celles qui font la pluie et le beau temps en matière de finance), est détenue majoritairement par un Français, Marc Ladreit de Lacharrière. 12e fortune officielle française (selon Forbes avec 1,1 milliard d’euros), cet homme de l’ombre est évidemment l’un des piliers du Siècle, mais il a également été président de la section française du Groupe de Bilderberg, {{financier de SOS-Racisme, propriétaire deValeurs actuelles. D’un rare cynisme, ce membre de l’hyperclasse mondialisée signait fin août, dans Le Nouvel observateur, l’appel de 16 grands patrons désireux de payer exceptionnellement, à titre personnel, un impôt de solidarité supplémentaire, alors même que les profits de la plupart de leurs entreprises sont sous-imposés par le biais des paradis fiscaux. Il est également le fondateur de la Fondation Culture & Diversité qui fait la part plus que belle aux immigrés non-européens.}}
« L’un des financiers les plus insaisissables du capitalisme français […] Spécialiste du maillage, il déploie la même énergie à assembler ses “alliés” financiers qu’à animer des cercles de réflexion très privés. »
Le Nouvel économiste (Lacharrière, capitaliste tendance jésuite, 4 mars 1994).
« Marc Ladreit de Lacharrière, le plus puissant inconnu de France. »
L’Expansion, 7 février 1991.
« Le président de Fimalac est célèbre pour son incroyable carnet d’adresses. »
Le Figaro Entreprises, 14 avril 2003.
« Un mélange rarissime de Jockey club et de négociant levantin. »
Alain Minc (L’Express, 13 mars 2003).
Né le 6 novembre 1940 à Nice (Alpes-Maritimes), dans une famille noble originaire du Vivarais (qui détient toujours son propre château dans son village de Lacharrière), il eut pour oncles René et Guy de Lacharrière, grands pontes du droit et de la diplomatie (le second fut notamment vice-président de la Cour internationale de justice de La Haye). Cet héritier ambitieux (qui lançaMademoiselle en 1963, avant de le revendre à Daniel Filipacchi), boursier de la Fondation Zellidja en 1958, fit des études de sciences économiques avant d’entrer à l’Ena. Il est issu de la promotion la plus à gauche jamais sortie de l’Ena, la promotion Robespierre (1968-1970), largement gangrenée par le gauchisme. Sorti 17e, ce qui lui interdisait d’intégrer les corps les plus prestigieux de l’État, il démissionne aussitôt de la fonction publique, se fait embaucher à la Banque de Suez par Jean-Marc Pelletier(mari de Monique Pelletier, futur ministre giscardien) par Jack Francès, « le maniaque du secret, celui qui a fait trembler le monde de l’assurance pendant trente ans » (L’Express, 13 mars 2002). Fondé de pouvoir en 1971, puis sous-directeur en 1973, il devient directeur adjoint de la Banque d’Indochine et de Suez en 1975 et directeur de sa division affaires en 1976.
Il bascule alors vers L’Oréal, s’imposant rapidement comme le dauphin potentiel de François Dalle. Il y sera successivement directeur financier, directeur de l’administration et des finances, vice-président du comité de direction, vice-PDG adjoint en charge des finances (n°2) de 1984 à 1991. Lindsay Owen-Jones lui ayant été préféré par la famille Bettencourt, il quitte le groupe de cosmétiques et lance la Financière Marc Ladreit de Lacharrière (Fimalac), qui va prendre des participations dans diverses sociétés, d’autant, qu’en parallèle de L’Oréal, il avait déjà été vice-président du groupe Masson Belfond Armand Colin, racheté avec le cousin de sa femme, Jérôme Talamon.
Par ses contacts et son expérience internationale, cet homme de l’ombre pressent très vite que la déréglementation et la désintermédiation des marchés financiers va favoriser la croissance exponentielle des agences de notation, qui donneront, sans jamais prendre aucun risque, des avis très suivis sur la solvabilité des entreprises et entités qu’elles passeront au scanner. Comme cela a été souligné depuis lors par nombre d’économistes, ce sont les agences de notation qui sont très largement…
Source : Faits et Documents n°321 via lacropole.info
Voila pourquoi Fitch n’a pas encore dégradé la France...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marc_Ladreit_de_Lacharri%C3%A8re
Biographie[modifier]
Marc Ladreit de Lacharrière passe son enfance dans le château familial de Lacharrière, dans le Vivarais ardéchois Il est boursier de la Fondation Zellidja en 1958, fait des études de sciences économiques à Paris puis il est reçu à l’École nationale d’administration, promotion « Robespierre » (janvier 1968 - mai 1970) dont il sort dix-septième (sur 250 élèves). Il démissionne aussitôt de la fonction publique et entre à la Banque Indosuez où il occupe divers postes de direction jusqu’en 1976, avant d’intégrer le groupe L’Oréal dont il devient vice-président-directeur général (1984-1991). Il est parallèlement administrateur de Synthélabo (1986-1991), du Crédit lyonnais, d’Air France, de France Télécom, du musée du Louvre. En 1991, Marc Ladreit de Lacharrière crée son propre groupe, la Financière Marc de Lacharrière (Fimalac). Fimalac prend des participations dans diverses sociétés.
{{Elle détient l’agence de notation financière Fitch Ratings et Algorithmics, société spécialisée dans l’analyse et la gestion du risque.
}}
Marc Ladreit de Lacharrière est administrateur du groupe Casino, de L’Oréal, de Renault depuis 2000, membre du Conseil consultatif de la Banque de France depuis 1972.
{{De 1989 à 1993, il est membre du comité de direction du Groupe de Bilderberg. Il est président de la section française du groupe Bilderberg.}}
Il est président de La Revue des Deux Mondes, revue intellectuelle française. Mécène du musée du Louvre, il a été élu à l’Académie des beaux-arts en 2006 au fauteuil de Gérald Van der Kemp (section des membres libres). La même année, il crée la Fondation Culture & Diversité avec, pour premiers partenaires, le Théâtre du Rond-Point, l’association La Source, l’École du Louvre, puis les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis, les Amis de Magnum Photos, les écoles supérieures d’art et les classes préparatoires publiques d’Ile-de-France, et la Fémis. La mission de la Fondation est de mettre la culture, les arts et les pratiques artistiques au service de la cohésion sociale et de l’égalité des chances pour les jeunes de l’éducation prioritaire. En 2007, il devient président du conseil d’administration de l’Agence internationale des musées de France (France Muséums), organisme chargé notamment de réaliser le musée du Louvre à Abou Dabi. De 2006 à 2009, il présida l’Association des Amis de Vaux-le-Vicomte. En 2007, il fait son entrée dans le classement des milliardaires français avec une fortune nette estimée de 1,6 milliard d’euros5. Sa fortune étant largement liée à son patrimoine professionnel - à savoir Fimalac, cotée en Bourse -, celle-ci a été réévaluée en 2009 à la baisse à hauteur de 922 millions d’euros (35e en France)6. En 2008, en plus des dividendes empochés au titre d’actionnaire majoritaire de Fimalac, il a touché une rémunération de 2,4 millions d’euros comme dirigeant de la société7. En 2010, Marc Ladreit de Lacharrière crée, avec la journaliste franco-tunisienne Sonia Mabrouk, l’Association des Musées Méconnus de la Méditerranée (AMMed). Celle-ci a pour objectif de mettre en valeur des musées et lieux de culture peu connus du grand public afin de promouvoir le dialogue et le rapprochement des peuples entre les deux rives de la Méditerranée.
{{Il est élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d’honneur le 31 décembre 2010.}}
Et maintenant les gouvernements vont interdire aux institutions de vendre les obligations d’états... !!!
http://www.zerohedge.com/news/der-v...
Der Verkauf Ist Verboten - Germany Considers Ban On Sovereign Bond Sales Submitted by Tyler Durden on 01/14/2012 - 17:11 AIG American International Group Bond Capital Markets European Central Bank Germany Institutional Investors Insurance Companies Investment Grade Rating Agency ratings SocGen Unemployment When back in August, Europe declared a short selling ban of any financials (here we are willing to channel Romney, and make a $10,000 bet with anyone that said ban will never be lifted), and which as we predicted has had no favorable impact on bank stocks which have since tumbled, we suggested that the next step will also be the final one : the passage of laws prohibiting sales of any kind. As usual we were partially joking. And as so often happens, we are about to be proven right again. As the FT reports in its headline article today, whose gist is simple enough, that Europe is on the verge, it is the tactically-placed final paragraph that is of particular curiosity. It says the following : "Speaking on the fringes of a start-of-year retreat of her Christian Union lawmakers in the city of Kiel, Ms Merkel said she would consider calls from her party colleagues for legislation to bar institutional investors such as insurance companies from selling bonds when ratings were downgraded, or fell below investment grade." Allow us to recopy and repaste the key part :
{{"legislation to bar institutional investors such as insurance companies from selling bonds."}}
Très peu savent que Fitch, l’une des trois principales agences de notation (celles qui font la pluie et le beau temps en matière de finance), est détenue majoritairement par un Français, Marc Ladreit de Lacharrière. 12e fortune officielle française (selon Forbes avec 1,1 milliard d’euros), cet homme de l’ombre est évidemment l’un des piliers du Siècle, mais il a également été président de la section française du Groupe de Bilderberg, {{financier de SOS-Racisme, propriétaire deValeurs actuelles. D’un rare cynisme, ce membre de l’hyperclasse mondialisée signait fin août, dans Le Nouvel observateur, l’appel de 16 grands patrons désireux de payer exceptionnellement, à titre personnel, un impôt de solidarité supplémentaire, alors même que les profits de la plupart de leurs entreprises sont sous-imposés par le biais des paradis fiscaux. Il est également le fondateur de la Fondation Culture & Diversité qui fait la part plus que belle aux immigrés non-européens.}}
« L’un des financiers les plus insaisissables du capitalisme français […] Spécialiste du maillage, il déploie la même énergie à assembler ses “alliés” financiers qu’à animer des cercles de réflexion très privés. » Le Nouvel économiste (Lacharrière, capitaliste tendance jésuite, 4 mars 1994).
« Marc Ladreit de Lacharrière, le plus puissant inconnu de France. » L’Expansion, 7 février 1991. « Le président de Fimalac est célèbre pour son incroyable carnet d’adresses. » Le Figaro Entreprises, 14 avril 2003. « Un mélange rarissime de Jockey club et de négociant levantin. » Alain Minc (L’Express, 13 mars 2003). Né le 6 novembre 1940 à Nice (Alpes-Maritimes), dans une famille noble originaire du Vivarais (qui détient toujours son propre château dans son village de Lacharrière), il eut pour oncles René et Guy de Lacharrière, grands pontes du droit et de la diplomatie (le second fut notamment vice-président de la Cour internationale de justice de La Haye). Cet héritier ambitieux (qui lançaMademoiselle en 1963, avant de le revendre à Daniel Filipacchi), boursier de la Fondation Zellidja en 1958, fit des études de sciences économiques avant d’entrer à l’Ena. Il est issu de la promotion la plus à gauche jamais sortie de l’Ena, la promotion Robespierre (1968-1970), largement gangrenée par le gauchisme. Sorti 17e, ce qui lui interdisait d’intégrer les corps les plus prestigieux de l’État, il démissionne aussitôt de la fonction publique, se fait embaucher à la Banque de Suez par Jean-Marc Pelletier(mari de Monique Pelletier, futur ministre giscardien) par Jack Francès, « le maniaque du secret, celui qui a fait trembler le monde de l’assurance pendant trente ans » (L’Express, 13 mars 2002). Fondé de pouvoir en 1971, puis sous-directeur en 1973, il devient directeur adjoint de la Banque d’Indochine et de Suez en 1975 et directeur de sa division affaires en 1976.
Il bascule alors vers L’Oréal, s’imposant rapidement comme le dauphin potentiel de François Dalle. Il y sera successivement directeur financier, directeur de l’administration et des finances, vice-président du comité de direction, vice-PDG adjoint en charge des finances (n°2) de 1984 à 1991. Lindsay Owen-Jones lui ayant été préféré par la famille Bettencourt, il quitte le groupe de cosmétiques et lance la Financière Marc Ladreit de Lacharrière (Fimalac), qui va prendre des participations dans diverses sociétés, d’autant, qu’en parallèle de L’Oréal, il avait déjà été vice-président du groupe Masson Belfond Armand Colin, racheté avec le cousin de sa femme, Jérôme Talamon.
Par ses contacts et son expérience internationale, cet homme de l’ombre pressent très vite que la déréglementation et la désintermédiation des marchés financiers va favoriser la croissance exponentielle des agences de notation, qui donneront, sans jamais prendre aucun risque, des avis très suivis sur la solvabilité des entreprises et entités qu’elles passeront au scanner. Comme cela a été souligné depuis lors par nombre d’économistes, ce sont les agences de notation qui sont très largement… Source : Faits et Documents n°321 via lacropole.info
Très peu savent que Fitch, l’une des trois principales agences de notation (celles qui font la pluie et le beau temps en matière de finance), est détenue majoritairement par un Français, Marc Ladreit de Lacharrière. 12e fortune officielle française (selon Forbes avec 1,1 milliard d’euros), cet homme de l’ombre est évidemment {{l’un des piliers du Siècle, mais il a également été président de la section française du Groupe de Bilderberg, financier de SOS-Racisme, propriétaire deValeurs actuelles. D’un rare cynisme, ce membre de l’hyperclasse mondialisée signait fin août, dans Le Nouvel observateur, l’appel de 16 grands patrons désireux de payer exceptionnellement, à titre personnel, un impôt de solidarité supplémentaire, alors même que les profits de la plupart de leurs entreprises sont sous-imposés par le biais des paradis fiscaux. Il est également le fondateur de la Fondation Culture & Diversité qui fait la part plus que belle aux immigrés non-européens.}}
« L’un des financiers les plus insaisissables du capitalisme français […] Spécialiste du maillage, il déploie la même énergie à assembler ses “alliés” financiers qu’à animer des cercles de réflexion très privés. » Le Nouvel économiste (Lacharrière, capitaliste tendance jésuite, 4 mars 1994).
« Marc Ladreit de Lacharrière, le plus puissant inconnu de France. » L’Expansion, 7 février 1991. « Le président de Fimalac est célèbre pour son incroyable carnet d’adresses. » Le Figaro Entreprises, 14 avril 2003. « Un mélange rarissime de Jockey club et de négociant levantin. » Alain Minc (L’Express, 13 mars 2003). Né le 6 novembre 1940 à Nice (Alpes-Maritimes), dans une famille noble originaire du Vivarais (qui détient toujours son propre château dans son village de Lacharrière), il eut pour oncles René et Guy de Lacharrière, grands pontes du droit et de la diplomatie (le second fut notamment vice-président de la Cour internationale de justice de La Haye). Cet héritier ambitieux (qui lançaMademoiselle en 1963, avant de le revendre à Daniel Filipacchi), boursier de la Fondation Zellidja en 1958, fit des études de sciences économiques avant d’entrer à l’Ena. Il est issu de la promotion la plus à gauche jamais sortie de l’Ena, la promotion Robespierre (1968-1970), largement gangrenée par le gauchisme. Sorti 17e, ce qui lui interdisait d’intégrer les corps les plus prestigieux de l’État, il démissionne aussitôt de la fonction publique, se fait embaucher à la Banque de Suez par Jean-Marc Pelletier(mari de Monique Pelletier, futur ministre giscardien) par Jack Francès, « le maniaque du secret, celui qui a fait trembler le monde de l’assurance pendant trente ans » (L’Express, 13 mars 2002). Fondé de pouvoir en 1971, puis sous-directeur en 1973, il devient directeur adjoint de la Banque d’Indochine et de Suez en 1975 et directeur de sa division affaires en 1976.
Il bascule alors vers L’Oréal, s’imposant rapidement comme le dauphin potentiel de François Dalle. Il y sera successivement directeur financier, directeur de l’administration et des finances, vice-président du comité de direction, vice-PDG adjoint en charge des finances (n°2) de 1984 à 1991. Lindsay Owen-Jones lui ayant été préféré par la famille Bettencourt, il quitte le groupe de cosmétiques et lance la Financière Marc Ladreit de Lacharrière (Fimalac), qui va prendre des participations dans diverses sociétés, d’autant, qu’en parallèle de L’Oréal, il avait déjà été vice-président du groupe Masson Belfond Armand Colin, racheté avec le cousin de sa femme, Jérôme Talamon.
Par ses contacts et son expérience internationale, cet homme de l’ombre pressent très vite que la déréglementation et la désintermédiation des marchés financiers va favoriser la croissance exponentielle des agences de notation, qui donneront, sans jamais prendre aucun risque, des avis très suivis sur la solvabilité des entreprises et entités qu’elles passeront au scanner. Comme cela a été souligné depuis lors par nombre d’économistes, ce sont les agences de notation qui sont très largement… Source : Faits et Documents n°321 via lacropole.info
Oui... Mais au GLOBAL... ??? + de jobs très qualifiés... plus du tout de jobs peu qualifiés...
Vous ne réalisez pas à quel point la hausse de la productivité est rapide... !
Vous me parlez de la micro-informatique qui a vraiment débarqué dans les entreprises début des années 90...
Ce n'était que le tout début et en général au début, oui, cela crée des nouveaux emplois car il y a coexistence des anciens et des nouveaux... Mais à terme l'ancien disparaît et seul le nouveau reste...
Quant aux webmasters... et informaticiens... connaissez -vous les logiciels libres.. ?
Exemple, connaissez vous http://www.prestashop.com/fr/ ? Qui vous permet de créer quasi GRATUITEMENT votre boutique en ligne... ?
"Quant à la productivité et la technologie, elles tuent certes des emplois, mais en créent d’autres"...
Heu... Vous en êtes SÛR... ???
Vous avez des Chiffres qui prouvent qu'il y a PLUS d'Emplois APRES qu'AVANT... ???