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Tous les commentaires de ce membre (848 publications)
Voila les quelques différences entre la Droite et la Gauche : Avec la Droite on n'est JAMAIS SURPRIS... "On va vous niquer", ils le disent clairement... La Gauche c'est Beaucoup plus Subtil... "Venez avec nous, vous vous sentirez bien... puis après c'est DSK qui vous reçoit avec un Gros tube de Vaseline..." Visiblement ça marche... les clients en redemandent... :-)))) Bon d'accord... la Vaseline, c'est quand il en reste... la plupart du temps il en reste plus... et en plus il a invité des copains... !!!
"Bon ben... désolé... y aura plus de vaseline... Heeaaaeeeh..." Le candidat PS à l'Elysée, François Hollande, a laissé entendre mercredi que s'il était élu, il pourrait décider de mesures d'économie dès l'été dans le cadre de la loi de finances rectificative, si l'état des comptes publics était "plus difficile" que prévu. "Je confirme: au lendemain de l'élection présidentielle, je demanderai à la Cour des comptes de nous faire un rapport --bref d'ailleurs-- sur l'état réel des comptes publics, de ce qui a été promis dans la campagne par le candidat sortant (Nicolas Sarkozy, ndlr) et parfois dépensé", a déclaré M. Hollande lors d'une conférence de presse. Indiquant que ce rapport serait attendu "pour la fin du mois de juin, il a attiré l'attention sur l'importance de ses "conclusions". "Il y aura un collectif budgétaire, ce qu'on appelle une loi de finances rectificative, sur les comptes 2012. Si nous sommes dans une situation plus difficile, j'en tiendrai nécessairement compte pour agir", a affirmé le candidat socialiste.
Hollande... ? Il sait déjà qu'il imposera l'austérité... Bleu peut-être mais pas totalement stupide... Simplement {{il ne se rend pas compte qu'il devra peut-être sauver physiquement sa peau quand la colère populaire explosera dans ce pays... Pas tout de suite mais ça finira par arriver...}} En tout cas le "machin" commence à arriver au "bout du bout" des solutions possibles... Et l'Allemagne ne va sans doute pas tarder à dire "STOP"... http://www.zerohedge.com/contributed/2012-17-26/president-eu-parliament-collapse-eu-%E2%80%9Crealistic-scenario%E2%80%9D Wolf Richter www.testosteronepit.com “Over the past months, we experienced a worrisome trend towards re-nationalization and ‘summitization,’” said Martin Schulz, President of the European Parliament and member of the German opposition SPD, to a forum of the European Commission on Wednesday. His complaints went to the heart of democracy at the European level. Government leaders were becoming “more arrogant” and made decisions “behind closed doors, in violation of the community method.” They were attempting “to create a fiscal union outside the control of parliament, bypassing the EU Commission.” Calls for reintroduction of border controls within the Schengen area were “an extremely dangerous development” because “any attack on the freedom of movement is an attack on the foundation of the European Union.” And so, he said, the collapse of the EU was a “realistic scenario.” Even at the highest levels, the can of worms has now been acknowledged as open—just as the rift that zigzags through the Eurozone has become deeper and wider: according to information the Süddeutsche Zeitung obtained, the ECB and a group of Eurozone countries are trying to make it possible for the permanent bailout fund, the ESM, to bail banks out directly. The countries remained unnamed but, given the nature of the topic, would have to include Spain. Any such effort would violate the two fundamental principles of the ESM—that a country will get bailed out if, and really only if, it commits to the reforms necessary to make its economy competitive and to reduce its deficit; and that only countries will receive funds, regardless of what they do with them, and not banks. The goal was to alleviate the causes of the debt crisis—high deficits and uncompetitive economies. It was how German parliamentarians had been persuaded to vote for the bailout packages. Nevertheless, a working group will determine over the next two weeks—lightning speed by EU standards where progress is measured in months and often years—how, not if, banks could receive bailout funds directly from the ESM. Cause for the rush: Spain. Spanish banks have been ravaged by the implosion of a real-estate bubble that they themselves caused with their reckless lending practices. Now they needed an immediate injection of at least €50 billion, and much more later, as bad loans and collapsing real-estate values on their books would finally have to be dealt with. Bailing out banks directly through the ESM would accomplish two things for the debt-sinner government: allow it to escape painful reforms and deficit reduction programs; and free it from having to bail out its own banks, highly unpopular when “austerity” is simultaneously being imposed on the citizens. This just happened in Greece where banks reported €28.2 billion in losses. 13% of GDP! But €25 billion in rescue funds had already been transferred to the government—to bail out the banks, not the Greeks themselves. Yet, it's almost over. Read.... “Drachma Clauses” For Greece’s Exit from the Eurozone. Spain could have asked for bailout funds long ago, but it didn’t want to do that because, hampered by a mind-boggling unemployment problem, it didn’t want to subject itself to the painful reforms that had been imposed on Greece, Ireland, and Portugal. It would be much easier if the banks could get bailed out directly. And it’s not just Spain. “Once Spain sits under the bailout umbrella, the markets will focus on Italy,” said an unnamed representative of one of the unnamed countries. And there aren’t enough means to bail out both. So keeping Spain from getting officially bailed out has now become one of the more bizarre strategies in solving the debt crisis. Alas, Germany is categorically opposed to direct loans from the ESM to banks. Finance Minister Wolfgang Schäuble declared that he wouldn’t even discuss it. The treaties didn’t allow it, and that would remain so. Bundesbank President Jens Weidmann said that as long as Member States were responsible for oversight and regulation of their banks, they would also be responsible for bailing them out. “Liability and control must remain in balance,” he said. The Netherlands, Austria, and Finland also rejected it. But Germany no longer controls the ECB. It is now run by Mario Draghi, an Italian, who appears to have a sympathetic ear for the plight of Spain and Italy. And so on Thursday, he pushed Germany to the sidelines once again and made similar noises by calling on politicians to create a new European fund charged with bailing out the banks. Vitor Constancio, Vice President of the BCE, and Portuguese, called for going as far as possible towards a pan-European solution to the crisis. “The crisis is finished,” French President Sarkozy had said a few weeks ago. “There is no more risk that the euro will implode,” thanks to his leadership, he declared two days before the election last weekend. However, François Hollande, the socialist challenger and likely winner, has a prescription for fixing the very crisis Sarkozy declared finished. For how his ambitious plan might lead to an expedited break-up of the Eurozone, read.... Pushing the Euro to the Brink.
http://www.challenges.fr/patrimoine/20120417.CHA5430/la-crise-de-l-immobilier-a-officiellement-commence.html Les prix de l'immobilier semblent baisser légèrement sur la France et même à Paris. Quelle est votre analyse de la situation ? Le marché est complètement bloqué et aura beaucoup de mal à repartir en 2012-2013. {{Tout s’est dégradé très vite, et même beaucoup plus vite que ce qu’on a connu de pire dans les années passées. La demande a tout simplement disparu.}} On l’avait déjà senti à la fin de l’année dernière, avec l’enquête annuelle de la Fédération des banques françaises sur les intentions d‘achat des ménages, qui nous disait qu’ils n’étaient plus que 4% à avoir l’intention d’acheter, contre 5,2% à 5,6% auparavant. Depuis 1989, date de la première édition de cette enquête, et malgré deux crises graves de l’immobilier entretemps, on n’avait jamais vu cela ! Qu’est-ce qui freine cette demande ? Ce ne sont pas les prix. Le coût des opérations, sur la France, a déjà baissé d’environ 5% en moyenne depuis l’été 2011 : la demande n’est pas repartie pour autant. La raison, c’est une population tétanisée par les annonces sur la dette, la fiscalité et l’emploi. J’y ajoute la disparition des mesures de soutien à la demande : dans l’ancien, il n’y a plus aucune aide publique. Et dans le neuf, il ne reste plus que le nouveau Prêt à taux Zéro, le PTZ+, qui est une version rabotée du PTZprécédent. Comment jugez-vous l’attitude des banques ? Les taux des crédits immobiliers ne sont pas en cause : ils restent bas. Mais c’est vrai que depuis six mois, à la demande des autorités monétaires, les banques ont relevé leurs exigences en matière d’apport personnel. Ce qui fait qu’en neuf mois, on est passé de taux d’apport personnel d’environ 23% à des taux de 27/28%. Ces quatre à cinq points représentent une réduction importante du pouvoir d’achat. Vos scénarios pour les prochains mois ? Franchement, je ne vois pas comment on peut s’en sortir. Tout est passé dans le rouge très vite. Si on compare les premiers trimestres 2011 et 2012, on est sur un recul de 30 à 32% des volumes de crédit. Alors que l’an dernier, on avait enregistré environ 160 milliards d’euros de crédits acceptées, on n’en prévoit plus que 120 milliards pour cette année. Et peut-être moins… Une baisse des prix pourrait-elle débloquer le marché ? On pense souvent que la baisse des prix débloque le marché. Mais il faut savoir qu’en période de prix bas, un vendeur qui n’y est pas obligé ne met pas en vente son bien. Il va attendre une remontée des prix. Lors de la crise de 1990, le marché ne s’est débloqué que quatre années plus tard, quand les prix ont recommencé à monter. Plus récemment, lors de la crise de 2008, on a vraiment considéré qu’on sortait de la crise à partir du moment où les prix ont commencé à remonter, en avril 2009 et que les vendeurs sont revenus. On en est encore loin et on peut même dire que la crise de l’immobilier, en ce début d’année, a officiellement commencé.
Et PAN dans les dents de la Poufiasse de France Inter... http://www.dailymotion.com/video/xq87dl_matinale-speciale-marine-le-pen-dans-5-minutes-avec_news?start=0#from=embediframe
Depuis 4 jours les taux de la France et de l'Allemagne sont dé-corrélés. La France rejoint la Grèce et l'Espagne... C'est la FIN... !!!
{{"Le Gouvernement vous ment" :}} http://www.zerohedge.com/news/nsa-whistleblower-speaks-live-government-lying-you Just a month ago we raised more than a proverbial eyebrow when we noted the creation of the NSA's Utah Data Center (codename Stellar Wind) and William Binney's formidable statement that "we are this far from a turnkey totalitarian state". Democracy Now has the former National Security Agency technical director whistleblower's first TV interview in which he discusses the NSA's massive power to spy on Americans and why the FBI raided his home. Since retiring from the NSA in 2001, he has warned that the NSA’s data-mining program has become so vast that it could "create an Orwellian state." Today marks the first time Binney has spoken on national TV about NSA surveillance. Starting with his pre-9-11 identification of the world-wide-web as a voluminous problem since the NSA was 'falling behind the rate-of-change', his success in creating a system (codenamed Thin-Thread) for 'grabbing' all the data and the critical 'lawful' anonymization of that data (according to mandate at the time) which as soon as 9-11 occurred went out of the window as all domestic and foreign communications was now stored (starting with AT&T's forking over their data). This direct violation of the constitutional rights of everybody in the country was why Binney decided he could not stay (leaving one month after 9-11) along with the violation of almost every privacy and intelligence act as near-bottomless databases store all forms of communication collected by the agency, including private emails, cell phone calls, Google searches and other personal data. There was a time when Americans still cared about matters such as personal privacy. Luckily, they now have iGadgets to keep them distracted as they hand over their last pieces of individuality to the Tzar of conformity as simply put "The NSA Is Lying - The government has copies of most of your emails".
Dans moins d'un mois l'Espagne aura coulé. Fin Juin 2012 c'est toute l'Europe qui aura été entrainée dans la chute. Quelques faits au sujet de l'Espagne: * Total des prêts bancaires espagnols sont égaux à 170% du PIB espagnol. * Les prêts en difficulté à des banques espagnoles vient d'atteindre un sommet de 18 ans. * Les banques espagnoles sont emprunté un record de 316,3 Milliards d'Euros à la BCE en Mars (contre € 169,2 milliards en Février). La situation est tellement mauvaise que les citoyens espagnols retirent leur argent de l'Espagne En Masse : € 65 Milliards ont quitté le système bancaire espagnol en Mars 2011 uniquement. Plus de la moitié de tous les prêts hypothécaires espagnols sont la propriété des "cajas" espagnoles. Jusqu'à récemment, le système bancaire des "caja" n'était pratiquement pas réglementé. Jusqu'à environ 2010-2011, il n'y avait pas de réglementation pour ces banques (qui représentent 50% de tous les Dépôts espagnoles). Ils n'ont pas à révéler leurs prêts, leurs ratios de valeur, la qualité de la garantie qu'ils ont pris pour l'octroi de prêts ... ou quoi que ce soit. La majorité des prêts immobiliers étaient Sub-prime... ou... Sub-Sub-prime... Les prix immobiliers en Espagne ont atteint au sommet de la Bulle un indice de 380 (ils sont redescendus au niveau 350... -8%) A titre de comparaison les prix immobiliers aux Etats-Unis ont atteint au sommet de la Bulle un indice de 250 (ils sont redescendus au niveau 180...-28%). La Bulle immobilière espagnole est donc 1,5 fois plus grosse que celle des Etats-Unis et elle a à peine entamée sa chute. Le monde entier est exposé, au minimum, à hauteur de 1000 Milliards d'Euros sur l'Espagne (300 Milliards pour la Grèce)... La Bourse de Madrid est déjà retombée sur ses niveaux de Mars 2009 et a cassé tous les supports. En dessous ce sera la chute libre. Les élections françaises + grecques (6 mai 2012) gouttes "de trop" dans le navire.
http://www.challenges.fr/patrimoine/20120417.CHA5430/la-crise-de-l-immobilier-a-officiellement-commence.html Les prix de l'immobilier semblent baisser légèrement sur la France et même à Paris. Quelle est votre analyse de la situation ? Le marché est complètement bloqué et aura beaucoup de mal à repartir en 2012-2013. {{Tout s’est dégradé très vite, et même beaucoup plus vite que ce qu’on a connu de pire dans les années passées. La demande a tout simplement disparu.}} On l’avait déjà senti à la fin de l’année dernière, avec l’enquête annuelle de la Fédération des banques françaises sur les intentions d‘achat des ménages, qui nous disait qu’ils n’étaient plus que 4% à avoir l’intention d’acheter, contre 5,2% à 5,6% auparavant. Depuis 1989, date de la première édition de cette enquête, et malgré deux crises graves de l’immobilier entretemps, on n’avait jamais vu cela ! Qu’est-ce qui freine cette demande ? Ce ne sont pas les prix. Le coût des opérations, sur la France, a déjà baissé d’environ 5% en moyenne depuis l’été 2011 : la demande n’est pas repartie pour autant. La raison, c’est une population tétanisée par les annonces sur la dette, la fiscalité et l’emploi. J’y ajoute la disparition des mesures de soutien à la demande : dans l’ancien, il n’y a plus aucune aide publique. Et dans le neuf, il ne reste plus que le nouveau Prêt à taux Zéro, le PTZ+, qui est une version rabotée du PTZprécédent. Comment jugez-vous l’attitude des banques ? Les taux des crédits immobiliers ne sont pas en cause : ils restent bas. Mais c’est vrai que depuis six mois, à la demande des autorités monétaires, les banques ont relevé leurs exigences en matière d’apport personnel. Ce qui fait qu’en neuf mois, on est passé de taux d’apport personnel d’environ 23% à des taux de 27/28%. Ces quatre à cinq points représentent une réduction importante du pouvoir d’achat. Vos scénarios pour les prochains mois ? Franchement, je ne vois pas comment on peut s’en sortir. Tout est passé dans le rouge très vite. Si on compare les premiers trimestres 2011 et 2012, on est sur un recul de 30 à 32% des volumes de crédit. Alors que l’an dernier, on avait enregistré environ 160 milliards d’euros de crédits acceptées, on n’en prévoit plus que 120 milliards pour cette année. Et peut-être moins… Une baisse des prix pourrait-elle débloquer le marché ? On pense souvent que la baisse des prix débloque le marché. Mais il faut savoir qu’en période de prix bas, un vendeur qui n’y est pas obligé ne met pas en vente son bien. Il va attendre une remontée des prix. Lors de la crise de 1990, le marché ne s’est débloqué que quatre années plus tard, quand les prix ont recommencé à monter. Plus récemment, lors de la crise de 2008, on a vraiment considéré qu’on sortait de la crise à partir du moment où les prix ont commencé à remonter, en avril 2009 et que les vendeurs sont revenus. On en est encore loin et on peut même dire que la crise de l’immobilier, en ce début d’année, a officiellement commencé.
Surveille très attentivement le re-test de la MM50 qui (comme par hasard gravitera autour des 3390...).