Erreur
  • JUser::_load : impossible de charger l'utilisateur ayant l'ID 996
Vous n'êtes pas membre (devenir membre) ou pas connecté (se connecter)

Tous les commentaires de ce membre (848 publications)
Seeing in Crisis the Last Best Chance to Unite Europe MR. SCHÄUBLE said the German government would propose treaty changes at the summit of European leaders in Brussels on Dec. 9 that would move Europe closer to the centralized fiscal government that the currency zone has lacked. The ultimate goal, Mr. Schäuble says, is a political union with a European president directly elected by the people. “What we’re now doing with the fiscal union, what I’m describing here, is a short-term step for the currency,” Mr. Schäuble said. “In a larger context, naturally we need a political union.” Critics say the spending cuts German leaders have demanded from other countries are hurting growth across the Continent, in the process making debts only harder to repay. And his proposals to give the European Commission far-reaching powers to enforce budgetary discipline have been likened by skeptics in Britain to an invasive new “super state.” Even some euro supporters fear that Mrs. Merkel and Mr. Schäuble are talking about long-term changes while panicked investors and practiced speculators are tearing the euro to pieces right now. “There is a limited transition period where we have to manage the nervousness on the markets,” Mr. Schäuble said. “If it is clear that by the end of 2012 or the middle of 2013 that we have all the ingredients for new, strengthened and deepened political structures together, I think that will work.” He sees the turmoil as not an obstacle but a necessity. “We can only achieve a political union if we have a crisis,” Mr. Schäuble said.
Une petite chose intéressante à noter... Le Stochastique sur le S&P500 a atteint un niveau atteint seulement en Octobre 1987 et Septembre 2001... Mais SANS Panique... Un mouvement de TRÈS Grande Ampleur devrait donc bientôt arriver...
Seeing in Crisis the Last Best Chance to Unite Europe MR. SCHÄUBLE said the German government would propose treaty changes at the summit of European leaders in Brussels on Dec. 9 that would move Europe closer to the centralized fiscal government that the currency zone has lacked. The ultimate goal, Mr. Schäuble says, is a political union with a European president directly elected by the people. “What we’re now doing with the fiscal union, what I’m describing here, is a short-term step for the currency,” Mr. Schäuble said. “In a larger context, naturally we need a political union.” Critics say the spending cuts German leaders have demanded from other countries are hurting growth across the Continent, in the process making debts only harder to repay. And his proposals to give the European Commission far-reaching powers to enforce budgetary discipline have been likened by skeptics in Britain to an invasive new “super state.” Even some euro supporters fear that Mrs. Merkel and Mr. Schäuble are talking about long-term changes while panicked investors and practiced speculators are tearing the euro to pieces right now. “There is a limited transition period where we have to manage the nervousness on the markets,” Mr. Schäuble said. “If it is clear that by the end of 2012 or the middle of 2013 that we have all the ingredients for new, strengthened and deepened political structures together, I think that will work.” He sees the turmoil as not an obstacle but a necessity. “We can only achieve a political union if we have a crisis,” Mr. Schäuble said.
On a besoin de véritable argent et pas de "vapeurs" à effet levier avec des intérêts jamais créés dans le système... et donc à faillite assurée...
Je n'ai pas peur du changement, mais la faillite des banques sera un choc très violent et ça ne se passera pas aussi "facilement" que ce que vous pensez. En théorie et concrètement c'est simple à réaliser. Mais c'est la gestion du passage qui doit être bien préparé. Pour passer à l'Euro ça a pris 4 à 5 de préparation = pour préparer les esprits, la population, etc... Faire ça dans l'urgence entraînera des conséquences que vous ne pouvez pas contrôler si vous le faites sans préparation...
2 solutions possibles effectivement : 1) on fait faillite sur toutes les dettes... 2) on équilibre le système de la "planche à dettes" avec un peu de "planche à billets". Exemple : globalement (dette + intérêts à rembourser = 110 / argent dans le système = 100, on imprime 10 pour équilibrer le système... où bien on annule les intérêts de la dette pour arriver à 100, à l'équilibre). 3) Un mix des 2 solutions précédentes : certains font défaut partiellement sur leurs dettes, d'autres non, on imprime un peu pour équilibrer... A mon avis, les 2 solutions sont justes et civilisées. Mais la 1ère solution risque de générer un Chaos Généralisé inimaginable... et je ne suis pas sûr que ce soit souhaitable.
"Admettons qu’on aille jusqu’à la logique extrême : un jour, un petit groupe d’humains hyperriches va posséder la planète. Aux enfants qui arriveront, on leur dira qu’ils sont locataires. Qu’ils doivent payer leur droit d’exister. C’est stupide. C’est navrant. C’est d’une laideur infinie. Parce que j’ai de l’argent, j’ai le droit sur tout… C’est là que le politique devrait réguler. Mais, pour l’instant, les responsables politiques sont là pour maintenir en vie cette inégalité criante. Ils font de l’acharnement thérapeutique sur un modèle moribond. On peut le mettre sous perfusion tant qu’on voudra… on sait très bien qu’il est fini. Le drame serait que tout cela finisse dans le chaos, si on ne met pas en place une nouvelle orientation de la vie." Pierre Rabhi
http://la-chronique-agora.com/quand-la-masse-monetaire-gonfle-artificiellement-pib/ {{Qu’est-ce qui fait grimper les marchés ?}} “La seule véritable force qui fait fondamentalement grimper (et, dans une large mesure, chuter) les marchés boursiers — ou tout autre marché — à long terme”, écrit l’analyste Kel Kelly, “est simplement l’évolution de la quantité d’argent et du volume de dépenses dans l’économie. Les actions grimpent lorsqu’il y a inflation de la masse monétaire (c’est-à-dire plus d’argent dans l’économie et les marchés)”. Vous vous rappellerez, cher lecteur, que nous commençons à nous méfier du PIB. Comme nous le disions hier, il mesure la vitesse à laquelle les roues tournent ; il ne dit pas si l’on avance. Qu’est-il arrivé aux Etats-Unis ces 30 dernières années ? De l’argent — l’argent bidon provenant des autorités — a poussé les roues à tourner de plus en plus vite. Mais l’économie n’est allée nulle part… … sinon pour s’enfoncer plus profondément dans la dette. Oui, l’argent bidon a poussé les gens (nombre d’entre eux au Japon et en Chine) à produire plus de choses. Et oui, il a transféré la richesse des classes moyennes vers les riches, en multipliant par 13 la valeur relative de leurs investissements… tout en maintenant les salaires réels dans l’immobilisme. Ken Gerbino explique tout ça en d’autres termes : “C’est la monnaie papier créée à partir de rien qui génère l’injustice dans la distribution des richesses. Cela fait ensuite que la classe moyenne prend du retard et que les pauvres deviennent plus pauvres. Dans un système fiduciaire, la monnaie nouvellement créée et le crédit profitent à ceux qui ont accès à l’argent les premiers et achètent des biens tangibles et de l’immobilier… avant que ce nouvel argent ne circule et fasse grimper tous les prix. Les salaires, quant à eux, ne suivent pas l’inflation, ce qui exerce une nouvelle pression sur la classe moyenne”… Les autorités ont ainsi mis les électeurs là où elles voulaient qu’ils soient. 46 millions d’Américains doivent avoir recours aux bons d’alimentation. Et des millions d’autres dépendent de subventions gouvernementales… La plupart des gens ne peuvent pas se permettre de s’opposer au gouvernement. Ils doivent manger. The Week nous en dit plus : “Ces trois dernières décennies, les dépenses annuelles concernant les plus grands programmes fédéraux pour les pauvres et les quasi-pauvres [...] sont passés de 126 milliards de dollars (en dollars de 2011 ajustés à l’inflation) à 625 milliards. Aujourd’hui, la personne pauvre moyenne reçoit 13 000 $ d’aide fédérale, contre 4 300 $ en 1980. [...] Dans l’ensemble, les Etats-Unis dépensent près de 2 100 milliards de dollars en programmes sociaux, soit 60% de toutes les dépenses fédérales”. Les autorités ont également mis les riches au pied du mur. Ce sont désormais des parias dans le monde entier. Personne ne veut d’eux. Personne ne les aime. Les banques ne veulent pas toucher leur argent. Les autorités peuvent désormais en extraire à leur guise contributions électorales et impôts divers.