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Tous les commentaires de ce membre (848 publications)
Plusieurs réflexions sur ce sondage bidonné.

1) En théorie un état ne peut pas faire faillite (puisqu'il est censé avoir la seule et unique légitimité pour imprimer son argent = exemple du Zimbabwé...).

2) Les gens ont donc tort de penser que c'est la faillite... Mais dans le monde tordu dans lequel nous vivons les états se sont donnés les moyens de pouvoir faire faillite en abdiquant leur pouvoir de création monétaire... les gens ont donc raison de penser que nous sommes en faillite...

3) Sondage paradoxal effectivement car si 63% des gens pensent que l'état est en faillite la majorité pense aussi qu'il aura toujours assez d'argent pour payer ses fonctionnaires, ses retraités, etc... (si nous sommes en faillite on se demande bien d'où viendra la "manne"... ???)...
Nous sommes donc bien en France = Déni de la Réalité, lobotomisation des esprits, Bisounoursage, etc... !!!

4)  Ce sondage fait partie d'une stratégie de lente diffusion de la vérité à venir dans l'opinion publique française : l'Etat est en faillite et va devoir couper ses dépenses... Le chomâge va continuer d'augmenter et atteindre 4 millions (officiels fin 2013)... L'Euro va exploser... (scénario noir diffusé au JT de fRance2 le 25/12/2012...) Faudra baisser les salaires de -30%... etc, etc...

Préparation psychologique !!! 
Votre argent est en sécurité... Aucun Rsique... !!!

6 milliards de dollars de perte faute à un trader fou : la banque ne considérait pas ses investissements comme étant risqués, et avait refourgué la gestion des risques à un débutant qui manipulait des données sous un fichier Excel en multipliant les coquilles...

 

En mai dernier, le géant bancaire JP Morgan Chase annonçait avoir été floué de 2 milliards de dollars par Bruno Iksil, un trader français surnommé la "baleine de Londres" pour la démesure des positions qu'il prenait sur les marchés (≈ 100 milliards $). Un "petit Kerviel" disait-on alors, devenu grand... puisque le montant des pertes liées à ses périlleux placements a finalement atteint les 6.2 milliards de dollars ! Il se pourrait même que le "cachalot de la Tamise" batte son mentor de la SocGen sur le fil, selon la banque, qui vient de publier un rapport sur la question. 236 000 caractères, 36 500 mots, bref, près de 130 pages où l'on en apprend des vertes et des pas mûres. A se tordre... comme une baleine.

Un service de contrôle Excellent !

Cornegidouille ! Le portefeuille géré par le service dans lequel exerçait Bruno Iksil n'était pas déclaré comme étant "à risques". Et personne n'a rien trouvé à redire. Morbleu ! La gestion interne des risques était effectuée... sur une simple feuille Excel ! Par un seul "expert" qui n'avait auparavant jamais entendu parler de "risques", sans aucune formation et sans aide. Les données que notre bonhomme utilisait étaient copiées/collées à partir d'autres fichiers Excel, d'où de nombreuses erreurs, comme ont pû le constater les enquêteurs. Les modèles d'évaluation des risques étaient obsolètes, utilisés à tort, de façon inadéquate, ou encore mis en oeuvre de façon erronée. Comme cette formule qui utilisait la somme de deux nombres, alors qu'il fallait en utiliser la moyenne. Une petite faute de frappe qui divisait par deux l'évaluation du risque d'un produit. Un détail...

Curieusement, cette info n'a pas vraiment fait la Une. Ni de ce côté-là de l'Atlantique, ni de l'autre... Il faut dire que plusieurs clampins ont été virés. Que le pédégé a décidé de s'auto-flageller en réduisant drastiquement ses revenus (10 millions de dollars pour 2012, soit une baisse de 50%). Que la banque a promis que l'on ne l'y reprendrait plus, et que la FED l'a sommée de... "continuer à améliorer son programme de gestion des risques" ! Tout est donc rentré dans l'ordre. Ouf...

[Sources : documentcloud.orgdealbook.nytimes.comnj.comromandie.comwikipedia.org]
 
Le plus drôle sera le moment (fin 2013...) où les taxes et impôts sur les propriétaires immobiliers vont encore augmenter, le jour où les salaires / postes de fonctionnaires et retraites seront touchés...

Je n'attends pas de révolution mais les boeufs vont enfin commencer à ressentir dans leur vie quotidienne les effets des mesures "dures mais justes"...
On va bien se marrer... !!! 
Ministre "Fleur du mal"...
Et la majorité de français aux cerveaux lobotomisés qui gobent sans réfléchir toutes ces débilités... ! Désespérant !
http://www.dailymotion.com/video/xvxrp8_sante-coup-de-gueule-du-professeur-henri-joyeux_news


¡ Santé: Coup de gueule du Professeur Henri... par JaneBurgermeister

Certains bossent dur... pour vendre des produits "licites", des poisons dangereux et qui ne servent pratiquement à rien si on réfléchissait un peu avant de manger, boire et faire n'importe quoi...

"Les industriels entendent participer au "retour à la confiance" dans le médicament face au climat de "suspicion" dans l'opinion, a assuré jeudi Hervé Gisserot, président du Leem, fédération des entreprises du médicament, appelant pouvoirs publics et médias à y contribuer.


Sans citer nommément l'affaire du Diane 35, traitement anti-acné abusivement utilisé comme contraceptif, le président du Leem a relevé en France "un climat d'interrogation (...) de suspicion sur la sécurité" d'une catégorie de produits.

"Tout accident lié au médicament (...) interpelle les industriels" et "personne ne peut traiter avec mépris ou indifférence ce type d'événement", a-t-il affirmé.

Mais "en France, très rapidement nous sommes confrontés à une sorte de malaise profond et persistant" et "chaque interrogation très rapidement se transforme en réquisitoire" contre le médicament et les acteurs, a-t-il déploré.

"Cette préoccupation concerne nos entreprises", mais aussi l'Etat qui "doit jouer son rôle de pédagogie à froid" ainsi que les médias qui ont "une responsabilité", a-t-il dit."
La Commission européenne a annoncé, jeudi 31 janvier, une série de restrictions concernant trois pesticides, suspectés par l’Agence européenne de la sécurité des aliments (EFSA) d’accroître la mortalité abeilles. Ces trois néonicotinoïdes – le Clothianidin, l’Imidacloprid et le Thiametoxam, omniprésents dans l’agriculture sous les noms, par exemple, de Cruiser ou de Gaucho – pourraient voir leur usage limité au sein de l’Union européenne pendant deux ans, à compter du 1er juillet, si les Etats membres valident les mesures proposées par Bruxelles.
Et pendant ce temps les abeilles disparaissent en Masse et on sait pourquoi ! (c'est pas les feux de cheminée les coupables !!!).

Les derniers chiffres de l’Institut de recherches publiques France Agrimer, dépendant directement du Ministère de l’Agriculture, sont effarants.

Plus de 1 000 colonies d’abeilles sont décimées en France... chaque jour !
En seulement 6 ans, le nombre d’apiculteurs aurait chuté de plus de 40 % ! Et ce serait « directement corrélé à la disparition des abeilles » d’après France Agrimer.

C’est une véritable révolution silencieuse et tragique que nous sommes en train de vivre.

La majeure partie de ce que nous cultivons aujourd’hui et consommons au quotidien est en danger : tomates, courgettes, melon, pastèque, fraises, pommes, abricots, cassis, mûres, choux, oignons, poivrons, poireaux, persil, tournesol...

Les abeilles ne font pas uniquement du miel. Elles sont une humble et gigantesque force de travail, pollinisant 80 % des plantes à fleurs sur terre, et près de 90 % des plantes que nous cultivons. Il n’existe aucune alternative, ni technique, ni scientifique, pour les remplacer.

Sans elles, c’est l’alimentation de toute la population qui est menacée ! Sans parler de millions d’espèces d’insectes, d’oiseaux et de mammifères qui dépendent directement de ces plantes pour se nourrir.

Ce déclin catastrophique des abeilles est un phénomène complexe. Mais parmi les multiples facteurs qui joueraient un rôle dans cette hécatombe, il y en a un – majeur, décisif – qui est aujourd’hui clairement identifié et dénoncé par plus d’une quarantaine d’études scientifiques menées à travers le monde depuis plus de dix ans.

Il s’agit d’un groupe d’insecticides utilisés massivement sur les cultures : les néonicotinoïdes.

Ce sont des variétés de pesticides systémiques, c’est-à-dire qu’ils sont mis sur la graine de la plante, et lorsque celle-ci poussera, elle suintera des composants chimiques à forte dose qui ne laissent aucune chance aux insectes quels qu’ils soient.

Les hécatombes ont commencé, et progressivement augmenté dans les années qui ont suivi l’apparition de ces nouveaux pesticides sur le marché, dans les années 1990. Et les populations d’abeilles augmentent là où ces produits ont été interdits.

Les preuves à charge contre ces pesticides ultra-nocifs sont accablantes, et pourtant...

Sous la pression des grands groupes agrochimiques, Bayer, Syngenta, Dow Chemical ou Monsanto, ils continuent à être autorisés, commercialisés et utilisés massivement dans les champs, - tuant ainsi des millions d’abeilles chaque année.

C’est pour couper court à cette situation dramatique que la députée Laurence Abeille (la bien-nommée !) a déposé une proposition de résolution pour interdire immédiatement les pesticides néonicotinoïdes dangereux pour les abeilles.

Si cette résolution était adoptée par l’Assemblée Nationale, des millions d’abeilles seraient sauvées, permettant ainsi la préservation de l’écosystème et de l’alimentation des générations futures.

De leur côté, les lobbys de l’industrie des pesticides sentent l’étau se resserrer. Et ils font des pieds et des mains pour que leurs produits continuent à être vendus : ils brandissent de pseudos arguments scientifiques pour prouver qu’on n’a pas d’autre choix que d’utiliser leurs poisons, ils prédisent des licenciements massifs si leurs produits étaient interdits...

Ils sont en passe de bloquer la proposition de Laurence Abeille à l’Assemblée Nationale.

Source: Nature Alerte

 

Ou bien on vous fait gober "de force" toutes ces saloperies qui coûtent une fortune, rapportent un max. aux industries pharmaceutiques et vous tuent sûrement !!!

Une étude révèle l'imposture de la chimiothérapie

chimiotherapie.jpg(NaturalNews) Une équipe de chercheurs de l'état de Washington a récemment ont poussé un mémorable ''oups !'' quand elle a découvert par hasard la vérité mortelle sur la chimiothérapie en cherchant pourquoi les cellules cancéreuses de la prostate sont difficiles à éradiquer par les méthodes conventionnelles de traitement. Comme on le constate, en réalité la chimiothérapie ne traite ni ne guérit le cancer, selon les découvertes de l'étude, mais active plutôt la croissance et l'étendue des cellules cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à les éliminer une fois que la chimiothérapie a déjà été démarrée. 


On pourrait en parler comme preuve irréfutable, une fois pour toutes, de la tromperie de l'industrie conventionnelle du cancer. Non seulement la chimiothérapie, qui est la méthode standard de traitement du cancer aujourd'hui, est, selon l'étude un fiasco total, mais elle est au complet détriment du malade cancéreux. Publiées dans le journal Nature Medicine, les choquantes découvertes qui, sans surprise, ont été ignorées de la communauté scientifique dominante, éclairent en détails la manière dont la chimiothérapie obligent les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer. 

Selon l'étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses. La chimiothérapie endommage aussi définitivement l'ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio. L'action combinée de la destruction de cellules saines et la promotion de cellules cancéreuses fait techniquement de la chimiothérapie plus un protocole de création de cancer qu'un protocole de traitement cancéreux, par définition, fait qui devrait retenir l'attention de quiconque est personnellement impliqué, soit pour lui-même en ayant un cancer, soit parce qu'il connaît quelqu'un d'autre qui en est affecté. 

Quand le WNT16B (la protéine) est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure,'' a expliqué le co-auteur de l'étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte à laquelle ''il ne s'attendait pas du tout.'' ''Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour... peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur,'' a ajouté l'équipe au complet selon ce qu'elle a observé. 
Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé, suggère la recherche 

Cela signifie qu'à tous égards la technique toute entière de la chimiothérapie est totalement sans valeur, et qu'elle est en fait au complet détriment du patient cancéreux. Celui qui cherche vraiment à guérir fera en d'autres mots tout pour éviter la chimiothérapie, et recherchera une voie alternative. Laquelle peut comprendre les traitements alternatifs du Dr Gerson ou des aliments et nutriments anti-cancer comme le bicarbonate de soude, le curcuma, de fortes doses de vitamine C et la vitamine D. 

''Toute manipulation dirigée contre les tumeurs peut par inadvertance augmenter le nombre de tumeurs métastatiques, c'est ce qui tue les patients au bout du compte,'' a admis le Dr Raghu Kalluri, auteur d'une étude similaire publiée l'année dernière dans le journal Cellule cancéreuse. Cette étude particulière a conclu que les drogues anti-cancer, qui sont habituellement données en même temps que la chimiothérapie engendrent des métastases.


SOURCE 


Traduit par Hélios pour le BBB. 

Lire aussi l'article du Dr JacquesLacaze (cancérologue), ''Rapport accablant : 3 médecins sur 4 refusent la chimio pour eux-mêmes''.

http://bistrobarblog.blogspot.com/2013/01/limposture-de-la-chimiotherapie.html