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Tous les commentaires de ce membre (848 publications)
ENORME !!!

Vincent Courtillot DEMONTE TOUTES LES DONNEES SOIT DISANT "SCIENTIFIQUES" présentées par les "scientifiques" comme "Scientifiques" !!!!!

http://youtu.be/dPpMdr9VqUY

Mourn For America: Whenever A Tragedy Happens They Take Even More Freedom From Us



Martial Law In Boston - Photo from shtfplan.comWhat in the world is happening to America?  Over the past couple of decades, the federal government has used just about every major national tragedy as an excuse to take even more liberty and freedom away from us.  And without a doubt, the Boston Marathon bombing was a great national tragedy.  I don't think that any of us will forget the images that we have seen over the past week.  All of those responsible for this attack should be exposed, hunted down, tried and punished.  Unfortunately, what always seems to happen is that it is the American people that seem to get punished the most for these tragedies.  Over the past couple of decades we have been told again and again that if we will just give up a little bit more freedom that the authorities will be able to keep us safe.  But you know what?  It is IMPOSSIBLE for them to keep us safe.  There is no way in the world that the federal government can protect us from all of the bad guys in the world.  We are a country that is absolutely teeming with "soft targets" - malls, churches, schools, concerts, sporting events, etc.  No matter how much money we spend, there is no way that the federal government will ever be able to provide enough security for all of those soft targets.  Even if our society morphed into something that resembled George Orwell's "1984", the government would still never be able to guarantee our safety.  Unfortunately, in the aftermath of this attack there will inevitably be calls for "increased security" and "more anti-terror legislation".  The answer always seems to be to expand the emerging police state.  But it is getting to the point where all of this "security" is becoming absolutely suffocating, and yet it doesn't seem to be keeping us any safer.  So where does all of this end?  Are we going to completely throw out the entire U.S. Constitution in a desperate attempt to feel a little bit safer?  Or are we going to choose to live our lives without fear no matter what others may try to do to us? (Read More....)

UKIP's Godfrey Bloom Blasts Fractional Reserve Lending as Fraud; Says Central Bankers Should be Tried for Financial Crimes

Here are a pair of interesting You-Tube videos on fractional reserve lending sent by reader Magnus who lives in Sweden.

Godfrey Bloom Blasts Fractional Reserve Lending as Fraud

"The problem that we have is a flawed banking system, a fractional reserve banking system where bankers can lend money they don't have. If you go back in time in the United States to the 1850s, that was a capital offense. You could hang for that."  

Link if video does not play: Money-Printing Scam - Godfrey Bloom MEP 

Central Bankers Should be Tried for Financial Crimes

Read more at http://globaleconomicanalysis.blogspot.com/#ite6rgguGBmhFT2O.99
Voila, petit à petit on y arrive aux camps de concentration du Nouvel Ordre Mondial...

Le gouvernement grec veut à tout prix remplir les caisses de l'État. Une récente loi permet d'enfermer les citoyens qui doivent plus de 5000 euros au fisc, et dans ce contexte, le gouvernement a eu l'idée de reconvertir d'anciennes casernes en « pseudo-prisons ».


La Grèce, à cause des politiques absurdes mises en œuvre ces dernières années sous la « dictature » de la troïka, pullule de citoyens endettés et insolvables. Bien souvent, endettés vis-à-vis de l'État, étant donné que la pression fiscale continue d'augmenter pour compenser un appauvrissement social toujours plus grand, et une montée du chômage, voire même de la faim. 

Le gouvernement d'Antonis Samaras ne semble pourtant pas vouloir changer de voie et s'entête dans ses choix erronés - et criminels. L'objectif des tenants de l'exécutif, télécommandés depuis Bruxelles et Frankfort vise essentiellement à remplir les caisses de l'État. Comment ? En extorquant aux citoyens les taxes et les dettes non payées, même s'il faut pour cela les enfermer dans une espèce de « camp de concentration », où - on le sait bien - iront principalement de pauvres bougres qui doivent quelques milliers d'euros à l'État tandis que les gros débiteurs, les grandes entreprises, les armateurs, les hommes politiques, qui ont transféré leurs richesses à l'étranger ces dernières années, se faisant bien souvent passer pour des « sans ressource », s'en tireront à bon compte, grâce à leurs contacts dans l'establishement, ou à la possibilité qu'ils auront de s'octroyer les services de grands avocats afin d'éviter la punition, même s'il faudra sans doute payer quelques dessous de table (l'Italie n'est pas le seul pays corrompu du continent). 

Cette proposition de loi malsaine a été présentée au Parlement voilà quelques jours par le vice-ministre de la Justice grecque, Kostas Karagkounis. Celui qui ne paiera pas ses dettes dans les 4 mois après la date buttoir devra être puni, et enfermé pendant 1 an. Mais pas dans l'une des prisons grecques, déjà surpeuplées. Non. La brillante idée du gouvernement est de réhabiliter et de reconvertir certaines casernes militaires actuellement inutilisées. « Pour enfermer les tricheurs du fisc dans des conditions plus humaines,  » a expliqué le vice-ministre, qui a fait savoir que le premier sera un ex-camp d'entrainement militaire dans l'Attique, la région de la capitale, Athènes. Cela serait en quelque sorte le premier « camp de concentration » où seraient emprisonnés ceux que la loi récemment votée permettra d'arrêter s'ils doivent au fisc plus de 5000 euros. La loi en question permet au citoyen insolvable de payer son dû en plusieurs traites, mais prévoit que si l'une des traites n'est pas honorée, le débiteur sera alors passible de détention. 

La « proposition » suscite de vives polémiques et commentaires dans le pays, même si nombreux sont ceux qui pensent qu'il ne s'agit que d'une provocation, ou tout au plus d'une menace qui ne sera pratiquement jamais mise en œuvre, et dont le seul but est de faire peur à ceux qui doivent de l'argent à l'État afin qu'ils paient leurs dettes, et aident ainsi à réunir quelques millions d'euros destinés non pas à la Santé, l'Instruction ou la Protection sociale, mais au remboursement de la dette, naturellement. 

S'il s'agit d'une mauvaise plaisanterie, nous le saurons rapidement. Le fait est que le vice-ministre Kostas Karagunis est de nouveau intervenu sur la question, niant que son exécutif ait l'intention d'ouvrir des « camps de concentration » pour ceux qui ne paient pas leurs dettes. Il a affirmé que les « casernes-prisons » ne serviront que pour un nombre réduit de personnes, et que la majeure partie des citoyens sanctionnés devront simplement porter un bracelet électronique qui permettra de contrôler leurs mouvements, et travailler gratuitement dans des sortes de « prisons agricoles » où chaque jour équivaudra à deux en prison.
Voila, petit à petit on y arrive aux camps de concentration du Nouvel Ordre Mondial...

Le gouvernement grec veut à tout prix remplir les caisses de l'État. Une récente loi permet d'enfermer les citoyens qui doivent plus de 5000 euros au fisc, et dans ce contexte, le gouvernement a eu l'idée de reconvertir d'anciennes casernes en « pseudo-prisons ».


La Grèce, à cause des politiques absurdes mises en œuvre ces dernières années sous la « dictature » de la troïka, pullule de citoyens endettés et insolvables. Bien souvent, endettés vis-à-vis de l'État, étant donné que la pression fiscale continue d'augmenter pour compenser un appauvrissement social toujours plus grand, et une montée du chômage, voire même de la faim. 

Le gouvernement d'Antonis Samaras ne semble pourtant pas vouloir changer de voie et s'entête dans ses choix erronés - et criminels. L'objectif des tenants de l'exécutif, télécommandés depuis Bruxelles et Frankfort vise essentiellement à remplir les caisses de l'État. Comment ? En extorquant aux citoyens les taxes et les dettes non payées, même s'il faut pour cela les enfermer dans une espèce de « camp de concentration », où - on le sait bien - iront principalement de pauvres bougres qui doivent quelques milliers d'euros à l'État tandis que les gros débiteurs, les grandes entreprises, les armateurs, les hommes politiques, qui ont transféré leurs richesses à l'étranger ces dernières années, se faisant bien souvent passer pour des « sans ressource », s'en tireront à bon compte, grâce à leurs contacts dans l'establishement, ou à la possibilité qu'ils auront de s'octroyer les services de grands avocats afin d'éviter la punition, même s'il faudra sans doute payer quelques dessous de table (l'Italie n'est pas le seul pays corrompu du continent). 

Cette proposition de loi malsaine a été présentée au Parlement voilà quelques jours par le vice-ministre de la Justice grecque, Kostas Karagkounis. Celui qui ne paiera pas ses dettes dans les 4 mois après la date buttoir devra être puni, et enfermé pendant 1 an. Mais pas dans l'une des prisons grecques, déjà surpeuplées. Non. La brillante idée du gouvernement est de réhabiliter et de reconvertir certaines casernes militaires actuellement inutilisées. « Pour enfermer les tricheurs du fisc dans des conditions plus humaines,  » a expliqué le vice-ministre, qui a fait savoir que le premier sera un ex-camp d'entrainement militaire dans l'Attique, la région de la capitale, Athènes. Cela serait en quelque sorte le premier « camp de concentration » où seraient emprisonnés ceux que la loi récemment votée permettra d'arrêter s'ils doivent au fisc plus de 5000 euros. La loi en question permet au citoyen insolvable de payer son dû en plusieurs traites, mais prévoit que si l'une des traites n'est pas honorée, le débiteur sera alors passible de détention. 

La « proposition » suscite de vives polémiques et commentaires dans le pays, même si nombreux sont ceux qui pensent qu'il ne s'agit que d'une provocation, ou tout au plus d'une menace qui ne sera pratiquement jamais mise en œuvre, et dont le seul but est de faire peur à ceux qui doivent de l'argent à l'État afin qu'ils paient leurs dettes, et aident ainsi à réunir quelques millions d'euros destinés non pas à la Santé, l'Instruction ou la Protection sociale, mais au remboursement de la dette, naturellement. 

S'il s'agit d'une mauvaise plaisanterie, nous le saurons rapidement. Le fait est que le vice-ministre Kostas Karagunis est de nouveau intervenu sur la question, niant que son exécutif ait l'intention d'ouvrir des « camps de concentration » pour ceux qui ne paient pas leurs dettes. Il a affirmé que les « casernes-prisons » ne serviront que pour un nombre réduit de personnes, et que la majeure partie des citoyens sanctionnés devront simplement porter un bracelet électronique qui permettra de contrôler leurs mouvements, et travailler gratuitement dans des sortes de « prisons agricoles » où chaque jour équivaudra à deux en prison.