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tartemolle

tartemolle

Tous les commentaires de ce membre (100 publications)
 Henri, excellent papier! Tout particulièrement les lignes après "Oui mais, ils oublient le syndrome des taxis."

Désabusé, mais malheureusement tellement vrai!
lafrite, vous croyez encore ce que dit france2 ou tf1? lol !
La bonne information c'est celle donnée par Charles Sannat: 68 milliards. Il y a les prêts directs auquels il faut ajouter les engagements de la BCE.
Le rapport commis par “France Stratégie” est un écran de fumée pour faire croire aux français qu’il n’y a rien d’autre à faire contre le chômage que d’attendre un miracle démographique, et donc de ne pas réformer. C'est une évidence et la diffusion de ce rapport le lendemain de la divulgation par l'INSEE des chiffres catastrophiques du chômage de mars est tout sauf un hasard...

Le rapport commis par “France Stratégie” est un écran de fumée pour faire croire aux français qu’il n’y a rien d’autre à faire contre le chômage que d’attendre un miracle démographique, et donc de ne pas réformer. C'est une évidence et la diffusion de ce rapport le lendemain de la divulgation par l'INSEE des chiffres catastrophiques du chômage de mars est tout sauf un hasard...

Le vrai problème est l'hypertrophie du secteur public avec un million de fonctionnaires en surnombre bénéficiant de privilèges exhorbitants. Quand on sait (et ça a été démontré partout) qu'un fonctionnaire en trop c'est deux emplois détruits dans le privé, les réformes à opérer sont claires. Mais touche pas à ça! C'est la clientèle des socialistes.
Le rapport France Stratégie Dares est publié le lendemain de l'annonce de nouveaux chiffres catastrophiques sur le chômage (30000 chômeurs de plus en un mois catégories ABC). Ce rapport sert de leurre communicationnel de la part du gouvernement. Aucun intérêt.

L’emploi américain déçoit, l’euro rebondit à 1,10 dollar

Pierre-Yves Dugua

ÉTATS-UNIS Après un automne de forte croissance, l’économie américaine a nettement ralenti. La confirmation sans ambiguïté de cette tendance est tombée ce vendredi saint, jour où Wall Street est resté fermé. Alors que les experts tablaient sur l’annonce de quelque 245 000 créations d’emplois, le Département du travail n’a recensé que 126 000 postes nouveaux en mars.

Il faut remonter à décembre 2013 pour trouver un niveau d’embauche aussi modeste. Voilà douze mois que les créations d’emplois dépassaient toujours 200 000 unités. Tout aussi important : les estimations officielles de l’embauche de janvier et février sont révisées défavorablement. 69 000 postes de moins que l’on pensait ont été finalement créés au cours de ces deux mois.

En Europe, l’euro en a regagné près de 1 % pour tutoyer à nouveau 1,10 dollar. En effet, le ralentissement aux États-Unis rend moins urgent l’abandon par la Réserve fédérale de sa politique de taux directeur nul. Certains voyaient la Fed relever son taux d’ici à l’été. Désormais le scénario d’un relèvement à l’automne, voire plus tard, est également crédible, ce qui rend le dollar moins attractif. D’autres indices illustrent le ralentissement américain : les dépenses de consommation en février ont à peine progressé, tandis que l’expansion en mars dans le secteur manufacturier est retombée à son rythme le plus modeste depuis près de deux ans. Certains économistes, comme ceux de la banque JP Morgan, ne voient même plus la croissance atteindre 1 % en rythme annuel au premier ­trimestre. P.-Y. D.